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Calculs biliaires – signes & symptômes

Signes et symptômes de la présence de calculs biliaires dans le foie et dans vésicule biliaire
La peau

Le mauvais fonctionnement d’une partie du corps se montre au niveau de la peau sous forme de défauts cutanés, de décolorations ou de modification telles qu’une peau sèche ou grasse, ridée, flétrie…

Les calculs biliaires mènent aux troubles circulatoires, ce qui réduit l’approvisionnement en substances nutritives de la peau, entrave l’élimination des déchets cutanés, empêche l’épiderme de se développer sainement et trouble le renouvellement normal des cellules cutanées.

  • des taches noires et des plaques brunes (dépôts de déchets acides), sur le côté droit ou gauche du front, entre les sourcils ou sous les yeux, au-dessus de l’épaule droite, entre les omoplates
  • taches hépatiques sur le dos des mains et les avant-bras, à l’intersection du pouce et de l’index
  • rides horizontales à travers le haut du nez, signes de désordres pancréatiques, voire pancréatites ou diabète
  • couleur verte ou sombre sur les tempes, signes de dépôts biliaires diminuant l’activité du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, de la rate – couleur verte ou bleue sur les 2 côtés en haut du nez, signe d’une mauvais fonctionnement de la rate – ligne horizontale en haut du nez, signe d’une faiblesse du pancréas
  • peau huileuse sur le front, signe du mauvais fonctionnement foie en raison de calculs biliaires – couleur jaune de la peau indiquant des troubles biliaires du foie et de la vésicule biliaire, une faiblesse du pancréas, des reins et des organes excréteurs
  • perte de cheveux au milieu de la tête, indiquant la congestion du foie, du coeur, de l’intestin grêle, du pancréas et des organes reproducteurs.
Le nez
  • durcissement et épaississement de la pointe du nez, signe d’une faiblesse chronique du foie, résultant à un durcissement des artères, d’accumulation de graisse autour du coeur, du foie, de la rate, des glandes rénales et de la prostate. L’agrandissement excessif des vaisseaux sanguins peut mener à une crise cardiaque ou une crise d’apoplexie
  • nez constamment rouge, indiquant des troubles cardiaques, avec une tendance à l’hypertension – un nez violet, indicateur d’hypotension. La cause en est un déséquilibre du foie, des fonctions digestives et des reins
  • bout du nez fendu ou renforcement sur le bout du nez, signe d’un battement irrégulier du coeur ou des fibrillations
Les yeux
  • cernes légèrement jaunâtres sous les yeux, indiquant l’excès d’activité du foie et de la vésicule biliaire – cernes de couleur plus sombre, ou même noire, résultent quand les reins, la vessie et les organes reproducteurs sont surmenés à cause de troubles prolongés du système digestif – couleur grisâtre et pâle se manifeste si les reins et les poumons fonctionnent mal en raison d’un mauvais drainage lymphatique de ces organes, ainsi que le système endocrinien
  • cernes gonflés sous les yeux, en raison de la congestion des organes digestifs et excréteurs, qui se répercute sur le drainage lymphatique de la tête. En cas de chronicité, cela indique la présence d’inflammations, de kystes, de tumeurs dans la vessie, dans les ovaires, dans les trompes de Fallope, dans l’utérus ou la prostate
  • nuages blanc couvrant le centre de l’oeil, composé de particules de mucus, de particules de protéines dégénérées. Cela indique le développement de cataractes causées par un mauvais fonctionnement du foie et du système digestif.
  • rougeur constante dans le blanc de l’oeil, causée par des capillaires protubérants, ce qui indique des troubles des fonctions circulatoires et respiratoires – petites tâches de mucus blanc/jaune dans le blanc de l’oeil, signes de l’accumulation anormale de substances graisseuses (calculs bilaiaires dans le foie et la vésicule biliaire) – tendance  à développer des kystes et des tumeurs.
  • épaisse ligne blanche couvrant la périphérie de l’iris, particulièrement dans la partie inférieure, indiquant l’accumulation de cholestérol dans le système circulatoire, la rétention de graisses dans le système lymphatique
  • perte de lustre et de brillance des yeux, indiquant l’occlusion du foie et des reins, en incapacité de filtrer convenablement le sang. Le sang « sale » épaissi par la surcharge de toxines, de déchets, circule lentement, réduit l’approvisionnement en oxygène et en substances nutritives des cellules et des organes, y compris les yeux. Les cellules des yeux et du cerveau sont touchés en particulier, car le sang doit couler contre la gravité pour les atteindre. Les troubles de la vision sont le résultat direct ou indirect d’une capacité réduite de nettoyage du sang par le foie et les reins.
La langue, la bouche, les lèvres et les dents
  • langue chargée d’un mucus jaune/blanc, surtout sur la partie arrière, indiquant un déséquilibre dans la sécrétion de la bile. Les résidus toxiques de nourriture non digérée et fermentée ou putréfiée traînent dans les intestins, bloquant le flux lymphatique dans le canal thoracique et empêchant l’élimination des toxines et des microbes de la gorge et de la bouche
  • impressions dentaires sur les côtés de la langue, souvent accompagnées de mucus blanc sur la langue, indiquant une faiblesse digestive et une absorption inadéquate des éléments nutritifs par l’intestin grêle
  • boutons sur la langue, indiquant une mauvaise digestion, de fermentation, de putréfaction alimentaire dans les intestins
  • fissures dans la langue, signes de troubles du côlon, d’une nourriture insuffisamment mélangée à la bile, permettant aux acides toxiques de blesser et d’irriter les parois du côlon
  • irritation répétée de la muqueuse de la gorge et la bouche, provoquée par la régurgitation de bile dans l’estomac, inflammant son revêtement et produisant un excès de mucus remontant par l’oesophage. Ceci peut causer un mauvais goût (amer) dans la bouche et des raclements fréquents de la gorge et même des quintes de toux. Sans goût amer est le signe d’aliments non digérés dont les toxines sont neutralisées par le mucus.
  • mauvaise halène et rots fréquents, indiquant la présence de nourriture non digérée, fermentée ou putréfiée dans l’estomac et/ou les intestins. Les bactéries qui prolifèrent sur ces déchets, produisent des gaz, parfois toxiques provoquant une mauvaise halène.
  • croûtes dans les coins de la bouche, indiquant la présence d’ulcères duodénaux causés par la régurgitation de bile dans l’estomac. Des ulcères dans les diverses parties de la bouche ou de la langue indiquent une inflammation ou une ulcération dans les parties correspondantes de l’estomac ou des intestins. Un ulcère de la bouche sur les parties extérieures de la lèvre inférieure indique la présence de lésions ulcéreuses dans le gros intestin. Un herpès sur la lèvre correspond à une inflammation et à une ulcération de la paroi intestinale.
  • taches noires sur les lèvres, dues à des obstructions dans le foie, la vésicule biliaire et les reins, résultant de la stagnation de la circulation du sang et du drainage lymphatique. Si la couleur des lèvres est rougeâtre (foncé) ou violette, ceci indique une faiblesse du coeur, des poumons et des fonctions respiratoires
  • lèvres grossies ou épaissies, signes de troubles intestinaux. Si la lèvre inférieure est grossie, le côlon souffre de constipation, de diarrhée ou des deux, en alternance. Des gaz toxiques sont formés à cause d’aliments incorrectement digérées, cela engendre un gonflement abdominal. Une lèvre supérieure grossie ou épaisse indique des problèmes d’estomac, crises de foie accompagnée de « brûlures d’estomac ». (p 93)

Taux de cholestérol élevé

Le cholestérol, composante importante de chaque cellule et élément essentiel du métabolisme, contribue à la production du tissu nerveux, de la bile et des hormones. En fonction de ses besoins, le corps produit 1/2 à 1g de cholestérol par jour, jusqu’à 400 fois plus de cholestérol par jour chez l’adulte, qu’il n’obtiendrait en mangeant 100 gramme de beurre – synthèse ayant lieu dans le foie et dans l’intestin grêle.

Le cholestérol relâché dans la circulation sanguine, s’associe aux protéines contenues dans le sang ou lipoprotéines, chargés du transport du cholestérol : les lipoprotéines de basse densité (LDL), les lipoprotéines de très basse densité (VLDL) et les lipoprotéines de haute densité (HDL) – dit le « bon » cholestérol traversant facilement les parois des vaisseaux sanguins. Les LDL et VLDL sont ramenés au foie via des vaisseaux sanguins – de structure sinusoïde, qui reconstitue le cholestérol et l’excrète avec la bile dans les intestins. Dans les intestins, le cholestérol se combine avec les lipides, est absorbé par la lymphe et entre dans le sang.

Des calculs biliaires dans les voies biliaires du foie empêchent la sécrétion de bile et bloquent partiellement ou même complètement les voies d’issue du cholestérol. La pression qui résulte du reflux dans les cellules du foie, fait diminuer fortement la production de bile et l’excrétion du cholestérol VLDL et LDL avec la bile. Les dépôts de protéines excédentaires bouchent la structure des vaisseaux sanguins, ce qui augmentent la concentration de cholestérol dans le sang – d’où les maladies cardiaques.

Cette obstruction du foie, empêchant la réception les quantités de LDL et VLDL nécessaires au foie, incite le foie à augmenter la production de cholestérol, élevant le taux de cholestérol. Les artères stockent le « mauvais cholestérol » et deviennent rigides et dures.

La maladie coronaire de coeur, qu’elle soit causée par les cigarettes, par des quantités excessives d’alcool ou des excès alimentaires, surtout de protéines, ou n’importe quel autre facteur, se développe dans des conditions de blocage des voies biliaires du foie.

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Cystites et infections urinaires féminines

Les cystites sont des inflammations de la vessie, le plus souvent causées par des bactéries, plus rarement par des virus, des champignons, ou des parasites. Certaines, rares, sont liées à des maladies auto-immunes.

Les cystites sont fréquentes chez les femmes, dont l’anatomie favorise la colonisation bactérienne rétrograde de leur vessie par les microbes du tube digestif (anus).
Les cystites sont dites « aiguës simples » quand les patients ne présentent que des signes vésicaux d’apparition brutale. Elles sont dites compliquées lorsqu’existent des signes de gravité ou des complications.

Les cystites aiguës sont dites récidivantes lorsqu’on en souffre trois fois et plus dans une année, lorsqu’on recense 2 autres épisodes dans les 6 derniers mois, ou que le dernier épisode remonte à moins de 3 mois.

Les cystites interstitielles sont des inflammations durables de la paroi vésicale, par altération cellulaire et dégradation de la protection locale, sans précision des causes.

Les cystites à « urines claires » sont des inflammations sans infection. Elles pourraient représenter quatre cystites sur dix en consultation médicale de ville (Etude BaCyst, Journées Nationales d’Infectiologie, 2011).

Risques

Très peu de données épidémiologiques pour une pathologie qui selon les spécialistes toucherait une femme sur deux au cours de sa vie (Collège universitaire des enseignants en néphrologie, 2011). Les cystites représentent la deuxième localisation infectieuse en médecine générale, après les infections respiratoires.

Leur répercussion sur la qualité de vie est nette en raison de la douleur, surtout si ces infections se répètent. Leur fréquence augmentant avec l’activité génitale, elles peuvent freiner la vie sexuelle considérablement.

Les cystites infectieuses peuvent se compliquer, par extension de l’infection aux reins, la pyélonéphrite, puis par passage dans le sang (septicémie). La pyélonéphrite provoque de la fièvre (38-39°), des frissons, une douleur lombaire brutale du côté du rein atteint. La pyélonéphrite non soignée fait courir un risque de détérioration définitive du rein atteint. C’est une urgence médicale.

Une cystite chez un homme est en soi une cystite compliquée, car son anatomie fait normalement obstacle à l’infection.
Une cystite chez la femme enceinte et la femme ménopausée est compliquée d’office. Elle requiert une prise en charge médicale rapide.

Les autres facteurs de gravité permettant de parler de cystite compliquée sont :

– la rechute précoce moins de 7 jours après le traitement d’une précédente cystite et les récidives fréquentes ;
– la présence de sang visible dans les urines (autres diagnostics à évoquer impérativement) ;
– les anomalies de l’appareil urinaire (reflux urétéral, etc.) ;
– les maladies associées favorisant l’infection (diabète, cancer, immunodépression, maladie de foie) ;
– les calculs dans la vessie ou les reins.

Cystitis are bladder inflammation, usually caused by bacteria, more rarely by viruses, fungi, or parasites. Certain, rare, are related to autoimmune diseases.

Cystitis are common in women, whose anatomy promotes bacterial colonization of their retrograde bladder by microbes of the digestive tract (anus).
Cystitis are called « single severe » when patients have only bladder signs of sudden onset. They are called complex where viable signs of severity or complications.

Acute cystitis is called recurrent when it suffers three or more times in a year, when two lists other episodes in the last six months, or the last episode goes back less than three months.

Interstitial cystitis are durable inflammation of the bladder wall, by cellular damage and degradation of local protection, unspecified causes.

Cystitis to « clear urine » is inflammation without infection. They could represent four ten cystitis city medical consultation (Study BaCyst, National Days of Infectious Diseases, 2011).

Risks

Very few epidemiological data to a condition that according to specialists affect one in two women in his life (University College Teachers nephrology, 2011). Cystitis is the second infectious localization in general medicine, after respiratory infections.

Their impact on the quality of life is clear due to pain, especially if these infections are repeated. Their frequency increases with genital activity, they can stop the sexual life considerably.

Infectious cystitis may be complicated by extension of kidney infection, pyelonephritis, and then by passing through the blood (sepsis). Pyelonephritis causes fever (38-39 °), chills, back pain brutal side of the affected kidney. The untreated pyelonephritis poses a risk of permanent damage kidney reached. This is a medical emergency.

Cystitis in a man is in itself a complicated cystitis because its anatomy normally prevent infection.
Cystitis in pregnant women and postmenopausal women is complicated automatically. It requires taking rapid medical care.

Other factors of gravity to speak of complicated cystitis are:

– Early relapse within 7 days after treatment of a previous cystitis and frequent recurrences;
– The presence of visible blood in the urine (other diagnoses to evoke essential);
– Abnormalities of the urinary tract (ureter reflux, etc.);
– Associated diseases favoring infection (diabetes, cancer, immunosuppression, liver disease);
– Calculations in the bladder or kidneys.

Curithérapie

La curiethérapie (ou brachythérapie) est une forme de radiothérapie, c’est-à-dire une stratégie thérapeutique qui utilise des rayons ionisants de forte énergie pour détruire les cellules cancéreuses. La curiethérapie est une radiothérapie dite « interne »: les rayonnements sont émis par une source qui est introduite sur le site même de la tumeur. Cette approche peut être utilisée seule ou en association avec la chirurgie et/ou la chimiothérapie, selon la nature de la tumeur et son évolution.

Effets secondaires

Les rayons ionisants ne font pas de distinction entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Il existe donc un risque d’altération des cellules saines à proximité de la zone traitée, qui peuvent se traduire en effets secondaires plus ou moins sévères. Le plus souvent, ils se limitent à l’apparition d’une irritation et/ou une douleur au niveau de la zone traitée. Dans le cas d’une curiethérapie d’un cancer de la prostate, des problèmes urinaires peuvent apparaître. Ils sont transitoires et disparaissent progressivement.

Brachytherapy (or brachytherapy) is a form of radiotherapy, that is to say, a therapeutic strategy that uses high-energy ionizing radiation to destroy cancer cells. Brachytherapy is a radiotherapy called « internal » radiation is emitted by a source which is introduced on the site of the tumor. This approach can be used alone or in combination with surgery and / or chemotherapy, depending on the nature of the tumor and its evolution.

Side effects

Ionizing radiation does not distinguish between healthy cells and cancer cells. There is therefore a risk of damaging healthy cells near the treated area, which may result in more or less severe side effects. Most often, they are limited to the appearance of irritation and / or pain in the treated area. In the case of brachytherapy of prostate cancer, urinary problems may occur. They are transitory and disappear gradually.

Crise suicidaire

La crise suicidaire se définit comme une crise psychique majeure au cours de laquelle un passage à l’acte suicidaire est élevé. Cette crise suicidaire est caractérisée par une insuffisance des moyens de défense de la personne, qui la place en souffrance aiguë et en rupture d’équilibre relationnelle avec elle-même et son environnement. Cette crise suicidaire est réversible et temporaire ; elle dure de 6 à 8 semaines, mais en sortir ne veut pas dire que le risque suicidaire s’annule. Ce qui justifie une prise en charge ferme, rapide et de durée adaptée.

Risques

Le principal risque d’une crise suicidaire est par définition le passage à l’acte réussi, donc le décès. Le suicide est la première cause de décès chez l’homme de 25-44 ans. Il s’agit également de la deuxième cause de mortalité chez les 15-24 ans. Si les suicides de jeunes ont presque diminué de moitié entre 1993 et 2005, il reste cependant beaucoup de progrès à accomplir, d’après le Plan national d’actions contre le suicide (PNAS- 2011-2014). La mortalité par suicide reste très élevée en détention. Les détenus se suicident 6 fois plus que les hommes libres âgés de 15 à 59 ans. Après une baisse au début de la décennie, le nombre de décès par suicide tend à augmenter (109 en 2008 à 115 en 2009) toujours selon le PNAS- 2011-2014. Ce plan donne les informations les plus actuelles sur ce sujet.

En France, chaque année, plus de 10 000 personnes décèdent par suicide, soit environ 16 personnes sur 100 000, la France est en Europe parmi les pays à taux de mortalité élevé. Si le nombre de décès par suicide est connu grâce au CepiDC de l’Inserm avec toutefois une imprécision due à la sous-déclaration estimée à 20%, il n’en est pas de même des tentatives de suicide (TS). En effet, le nombre de tentatives de suicide fait encore l’objet d’estimations peu précises. En 2006, la Drees estime à environ 195 000 TS donnant lieu à un contact avec le système de soin chaque année. Par ailleurs, 10 660 décès ont été répertoriés dont 7.940 pour les hommes et 2.720 pour les femmes. Ces chiffres sont sans doute sous-évalués du fait du silence qui entoure ces drames, de 10 à 20% ce qui porterait le nombre effectif de suicides annuels jusqu’à 13.000.

Certaines tentatives de suicide liées aux blessures par armes à feu ne sont pas toujours recensées comme tentatives de suicide. Leur dépistage revêt une importance considérable puisque la tentative de suicide (TS) est le plus important des facteurs de risque de suicide connus. On estime le taux de mortalité des suicidants à 10 à 15 % ; près de la moitié des suicidés ont fait une ou plusieurs TS avant leur décès (Programme national d’actions contre le suicide 2011-2014).

Suicidal crisis is defined as a major psychotic episode during which a suicidal act the passage is high. This suicidal crisis is characterized by a lack of human defense, which puts it in acute suffering and out of relational balance with itself and its environment. This suicidal crisis is reversible and temporary; it lasts 6 to 8 weeks, but out does not mean that the risk of suicide is canceled. What justifies a firm support, fast and suitable duration.

Risks

The main risk of a suicidal crisis is by definition the successful passage to the act, so the death. Suicide is the leading cause of death in men aged 25-44. It is also the second leading cause of death among 15-24 year olds. If youth suicides have almost halved between 1993 and 2005, however there is still much progress to be made, according to the National Action Plan against suicide (PNAS- 2011-2014). Suicide mortality remains very high in detention. The inmates commit suicide 6 times more than free men aged 15-59 years. After falling at the beginning of the decade, the number of deaths by suicide tends to increase (109 in 2008 to 115 in 2009) still according PNAS- 2011-2014. This plan provides the most current information on this topic.
In France, each year more than 10,000 people die by suicide, or about 16 people per 100 000, France is among the European countries with high mortality rates. If the number of deaths by suicide is known from CépiDc Inserm but with an inaccuracy due to underreporting estimated at 20%, it is not the same with suicide attempts (TS). Indeed, the number of suicide attempts is still the subject of inaccurate estimates. In 2006, Drees estimated that around 195,000 TS resulting in contact with the care system each year. Furthermore, 10 660 deaths were recorded with 7940 for men and 2720 for women. These figures are probably underestimated because of the silence surrounding these tragedies, of 10-20% which would bring the actual number of annual suicides up to 13,000.
Some suicide attempts related to firearm injuries are not always identified as suicide attempts. Their screening is of considerable importance since the suicide attempt (TS) is the most important known risk factors for suicide. The estimated mortality rate of suicide attempters at 10-15%; nearly half of the suicides have one or more TS before their death (National Action Programme against suicide 2011-2014).

Coup du lapin

Le « coup du lapin » est un traumatisme cervical résultant le plus souvent d’un brutal changement de vitesse (accélération, décélération). Plutôt que de parler de coup du lapin, les Anglo-Saxons préfèrent parler de traumatisme cervical en « coup de fouet » (whiplash).
Le plus souvent, le traumatisme cervical est mineur, sans lésion de la colonne vertébrale. Une entorse cervicale, aux conséquences parfois graves, est cependant systématiquement recherchée

Risques

Les traumatismes cervicaux ou coups du lapin sont responsables de plaintes fréquentes après un accident de la circulation, même à faible vitesse. Douleurs, raideur cervicale peuvent devenir chroniques. C’est pour cette raison que le coup du lapin est un motif récurrent de plaintes et d’expertises dans des pays où le niveau de protection sociale et d’indemnisation est élevé.

Les enfants sont également concernés, avec 3,3 % des victimes d’accidents de la voie publique (passagers de voitures) présentant une ou plusieurs limitations suite au coup du lapin. (1)

The « whiplash » is neck trauma resulting most often a brutal speed change (acceleration, deceleration). Rather than speaking of whiplash, the Anglo-Saxons prefer to speak of whiplash in « boost » (whiplash).
Most often, the neck injury is minor, no spinal injury. Whiplash, with sometimes serious consequences, however, is systematically sought

Risks

Cervical trauma or strokes rabbit are responsible for common complaints after a traffic accident, even at low speed. Pain, stiff neck can become chronic. It is for this reason that whiplash is a recurring pattern of complaints and expertise in countries where the level of social protection and compensation is high.

Children are also affected, with 3.3% of accident victims from the public road (passenger car) having one or more limitations due to whiplash. (1)

Constipation

La constipation est un symptôme caractérisé par un retard, ou une difficulté à évacuer les selles. On parle de constipation quand il y a moins de trois selles par semaine et/ou quand les selles sont difficiles à évacuer (à exonérer, pour les médecins).
Elle est chronique quand elle dure depuis plus de 6 mois. Des selles liquides ne réfutent pas une constipation, qui s’établit scientifiquement sur un poids de selles quotidien inférieur à la moyenne : une vérification impossible en pratique.La constipation par ralentissement du transit digestif est la forme la plus fréquente.
La constipation « terminale », appelée dyschésie recto-anale, est un trouble de la seule évacuation des selles, au niveau du rectum et de l’anus. Il est fréquemment de combiner les deux troubles.
La constipation peut être la seule maladie (constipation idiopathique) ou être secondaire à une autre maladie.

Risques

Dans les pays occidentaux, la prévalence de la constipation se situe entre 15 et 20 % de la population. En France, une enquête réalisée dans la population générale sur les plaintes subjectives a trouvé une constipation chez 35% des interrogés, et une sensation d’évacuation incomplète chez 19% (Abrégé d’hépato-gastro-entérologie 2009 – ECN, Elsevier Masson). Les femmes sont plus sujettes que les hommes à cette plainte.

La constipation accompagne les toxicomanes : morphine, cocaïne et leurs dérivés sont puissamment constipants. La consommation de nombreux médicaments modifiant l’équilibre neuro-végétatif expose aussi à cet effet indésirable.

Elle peut à la longue entraîner des complications comme des fissures anales, des hémorroïdes, une faiblesse du périnée favorisant l’incontinence urinaire et/ou anale, et des troubles sexuels.

Le risque majeur est l’occlusion ou la sub-occlusion intestinale, non exceptionnelle chez les vieillards par formation d’un fécalome obstructif (accumulation rectale de selles dures qui ne peuvent être évacuées naturellement).
Chez les malades psychiatriques ayant des pulsions d’ingestion bizarres on peut voir des blocages digestifs sur des bézoards (boules de matières non digestibles : cheveux par exemple, ou matière plastiques). Chez ces malades, la prescription de médicaments neurotropes provoque aussi des occlusions sournoises quand le suivi médical est insuffisant.

Enfin, l’occlusion peut survenir sur un obstacle non ingéré, habituellement une tumeur du côlon (cancer), ou l’extension locale d’une tumeur abdominale.

Constipation is a symptom characterized by a delay or difficulty in evacuating stools. We speak of constipation when there are fewer than three bowel movements per week and / or when the stools are difficult to pass (to exempt, for doctors).
It is chronic when it lasts for more than six months. Loose stools do not refute constipation, which scientifically establishes a daily stool weight below average: an impossible verification pratique.La constipation slower digestive transit is the most common form.
Constipation « terminal », called dyschezia recto-anal, is a disorder of the only evacuation of stool in the rectum and anus. It is frequently combine the two disorders.
Constipation may be the only disease (idiopathic constipation) or be secondary to another disease.

Risks

In Western countries, the prevalence of constipation is between 15 and 20% of the population. In France, a survey of the general population on the subjective complaints constipation found in 35% of respondents, and a sensation of incomplete evacuation in 19% (Epitome of Hepato-Gastroenterology 2009 – ECN Elsevier) . Women are more prone than men to this complaint.

Constipation accompanying drug morphine, cocaine and derivatives thereof are powerfully constipating. The consumption of many drugs affecting the autonomic balance also exposed to this adverse effect.

It can eventually lead to complications such as anal fissures, hemorrhoids, weakness perineal promoting urinary incontinence and / or anal and sexual disorders.

The major risk is the occlusion or intestinal sub-occlusion, not exceptional in old people by forming an obstructive fecal impaction (rectal accumulation of hard stool that can not be removed of course).
Among psychiatric patients who swallowed bizarre impulses can be seen digestive blockages on bezoars (balls of indigestible materials: for example hair, or plastic material). In these patients, prescription neurotropic drugs also causes occlusions sneaky when health surveillance is insufficient.

Finally, the occlusion may not occur on a barrier ingested, usually colon tumor (cancer), or the local expander abdominal tumor.

Conjonctivite

On parle ici d’une inflammation par irritation ou infection de la conjonctive oculaire, c’est-à-dire de la membrane transparente qui recouvre l’intérieur des paupières et le blanc de l’œil. Elle est parfois associée à une inflammation de la cornée (kératite). On parle alors de kérato-conjonctivite.

Risques / Causes

Dans le cas des conjonctivites infectieuses, il y a un risque de transmission et il faut donc prendre les mesures d’hygiène nécessaires pour éviter autant que possible une épidémie (surtout en milieu collectif comme les écoles) : ne pas toucher les autres personnes (éviter les baisers), bien se laver les mains, ne pas porter de lentilles, ne pas partager son maquillage ou son linge de toilette.

Il existe plusieurs catégories de conjonctivites : les allergiques et les infectieuses – qui regroupent elles-mêmes les conjonctivites virales et bactériennes.

Les conjonctivites allergiques sont souvent couplées à d’autres manifestations allergiques : asthme, rhinite… En fonction de l’allergène en cause, elles peuvent se produire de façon saisonnière au printemps et à l’automne (pollens), mais aussi toute l’année (acariens, poils animaux, etc.). Il y a souvent une prédisposition familiale.

Les conjonctivites infectieuses sont plus fréquentes. Elles sont dues à la contamination locale par une bactérie ou un virus.

We are talking about by irritation or inflammation of the conjunctiva infection, that is to say, the transparent membrane that covers the inside of the eyelids and the white of the eye. It is sometimes associated with inflammation of the cornea (keratitis). This is called keratoconjunctivitis.

Risks / Causes

In the case of infectious conjunctivitis, there is a risk of transmission and we must take the necessary hygiene measures to avoid as far as possible epidemic (especially in the middle class, such as schools): Do not touch other people (avoid kissing), wash their hands, do not wear lenses, do not share makeup or towels.

There are several types of conjunctivitis: allergic and infectious – which group themselves viral and bacterial conjunctivitis.

Allergic conjunctivitis is often coupled with other allergic manifestations: asthma, rhinitis … Depending on the allergen, they can occur seasonally in spring and fall (pollens), but also all year (mites, animal hair, etc.). There is often a family predisposition.

Infectious conjunctivitis is more common. They are due to local contamination by bacteria or a virus.

Coliques néphrétiques

La colique néphrétique est un syndrome douloureux lombo- abdominal aigu résultant de la mise en tension brutale de la voie excrétrice du haut appareil urinaire, en amont d’une obstruction, quelle qu’en soit la cause.

Cette définition médicale peut se dire plus simplement ainsi : quelque chose bloque la voie de sortie de l’urine (uretère) qui va du rein à la vessie.

L’urine s’accumule en amont du blocage et distend rapidement l’uretère puis le rein. Cette distension est très douloureuse et agite le patient ; on parle populairement de « colique frénétique ». C’est une urgence médicale.

Risques

Le risque est de détériorer le rein bloqué par l’urine qui ne s’évacue plus : on parle d’insuffisance rénale. L’infection des urines stagnantes est aussi à craindre, elle peut s’étendre rapidement au rein et contribuer à le détruire. Elle constitue un foyer de septicémie.

Pour l’Association française d’Urologie (AFU, recommandations actualisées, 2008), elle représente 1 à 2% des admissions aux urgences hospitalières, et concerne préférentiellement l’homme de 20 à 60 ans ; son taux de récidive est important (50 à 70% dans les 10 ans). Dans une communication récente (Bensalah et Gautier, congrès de l’AFU, 2011), une étude épidémiologique estime à 100 000 le nombre de coliques néphrétiques annuelles, en France. La moitié serait due à des calculs inférieurs à 6 mm.

La cause de l’obstruction urinaire est donc une lithiase (calcul) dans la grande majorité des cas ; or la fréquence des calculs urinaires croît régulièrement dans le monde, en rapport avec la modification de l’alimentation et de l’hygiène de vie, ainsi que par les médicaments et les maladies qui favorisent leur survenue.

Renal colic is a painful acute abdominal lombo- syndrome resulting from the sudden tensioning of the urinary tract of the upper urinary tract, upstream obstruction, whatever the cause.

The medical definition can say simply this: something is blocking the way out of the urine (ureter) that goes from the kidney to the bladder.

The urine builds up upstream of the blocking and rapidly distends the ureter and kidney. This distension is very painful and agitated patient; is popularly referred to as « frantic colic. » This is a medical emergency.

Risks

The risk of damaging the kidney blocked urine that drains more: we speak of kidney failure. Infection of stagnant urine is also a risk, it can quickly spread to the kidneys and help destroy it. It is a sepsis home.

For the French Association of Urology (AFU, updated recommendations, 2008), it represents 1 to 2% of admissions to hospital emergency and preferentially concerns man of 20-60 years; the recurrence rate is high (50-70% in 10 years). In a recent communication (Bensalah and Gautier, Congress EBA, 2011), an epidemiological study estimated 100,000 the number of annual renal colic, France. Half was due to the calculations below 6 mm.

The cause of urinary obstruction is a lithiasis (calculation) in the majority of cases; or the frequency of urinary stones steadily growing in the world, in connection with the change of diet and lifestyle, as well as drugs and diseases that promote their occurrence.

Cirrhoses hépatiques

Les cirrhoses hépatiques sont des maladies chroniques du foie qui provoquent la destruction de ses cellules (ou hépatocytes). Les cirrhoses sont donc des maladies graves puisqu’à terme le foie est remplacé par une fibrose qui ne lui permet pas d’assurer ses fonctions. Plusieurs origines des cirrhoses hépatiques sont retrouvées : la cirrhose alcoolique est la plus fréquente, les hépatites arrivent en deuxième position puis d’autres maladies rares (cirrhose biliaire primitive, hémochromatose…).

Risques / Causes

Les cirrhoses hépatiques sont des maladies fréquentes. Leur fréquence en France est estimée à 2 000 à 3 300 cas par million d’habitants. Le nombre de décès est estimé à 15 000 chaque année, liés aux complications de la cirrhose (hémorragie digestive, infections, cancers…). L’âge moyen du diagnostic est de 55 ans. Les principales causes sont l’alcool (50 à 75 %) et les hépatites (virus de l’hépatite C ou de l’hépatite B).

Les causes les plus fréquentes sont l’alcoolisme chronique et les hépatites virales. Tous ces facteurs entraînent des lésions des tissus du foie aboutissant à une fibrose et à une destruction de l’architecture hépatique. Chronologiquement, les premières lésions sont celles de stéatose hépatique réversibles, puis d’hépatite et de fibrose irréversible (stade de cirrhose).

Liver cirrhosis are chronic liver diseases that cause the destruction of its cells (or hepatocytes). Cirrhosis are the major diseases of the term since, the liver is replaced by fibrosis that does not allow it to perform its functions. Several origins are found in liver cirrhosis: alcoholic cirrhosis is the most common, hepatitis came second and other rare diseases (primary biliary cirrhosis, hemochromatosis …).

Risks / Causes

Liver cirrhosis are common diseases. Their frequency in France is estimated at 2 000-3 300 cases per million inhabitants. The death toll is estimated at 15,000 each year related to complications of cirrhosis (gastrointestinal bleeding, infections, cancers …). The average age of diagnosis is 55 years. Main causes are alcohol (50 to 75%) and hepatitis (hepatitis C, hepatitis B).

The most common causes are chronic alcoholism and viral hepatitis. All these factors lead to liver tissue damage leading to fibrosis and destruction of hepatic architecture. Chronologically, the first reversible lesions are those of fatty liver and hepatitis and irreversible fibrosis (cirrhosis stage).