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Système génito-urinaire

Troubles du système nerveux

Dans le monde rapide d’aujourd’hui, nous sommes exposés à toute une série d’impulsions qui déferlent sur nos sens. Les cellules de notre cerveau sont capables de fabriquer la quantité incroyable de substances chimiques dont elles ont besoin pour accomplir les tâches complexes qu’elles doivent exécuter chaque jour. Leur vie dépend de l’approvisionnement continu en éléments nutritifs dont elles ont besoin de produire ces substances chimiques.

Les déficits nutritionnels sont pour conséquence un mauvais fonctionnement du système digestif et, en particulier, du foie. Le manque de telles substances nutritives peut enfreindre la capacité de notre cerveau à fabriquer les substances chimiques, dont il a besoin pour fonctionner efficacement.

Le cerveau peut fonctionner pendant un certain temps avec des éléments nutritifs en quantités réduites et de qualité inférieure, mais le prix à payer inclut une mauvaise santé, la fatigue, le manque d’énergie, la dépression, la maladie, les douleurs, et le malaise généralisé. Certains déficits se manifestent dans des maladies mentales, telle que la schizophrénie et la maladie d’alzheimer.

La santé du système nerveux dépend principalement de la qualité du sang, composé de plasma (eau, protéines de plasma, sels minéraux, hormones, vitamines, substances nutritives, déchets organiques, anticorps, gaz) et de cellules sanguines (globules rouges (érythrocites), plaquettes (thrombocytes)). Des changements anormaux dans le sang se répercutent sur le système nerveux et sur le reste du corps.

Des calculs biliaires dans le foie interfèrent avec la digestion, l’assimilation de la nourriture, ce qui surcharge le plasma sanguin de déchets et réduit l’approvisionnement en substances nutritives de la moelle osseuse. Une modification de la composition des cellules sanguines empêche les hormones de circuler normalement, cause des réactions anormales dans le système nerveux, provoquant des maladies.

Le cerveau constitue 1/5 du poids du corps, contient 1/5 du volume sanguin total et consume de grandes quantités de glucose. Les calculs biliaires dans le foie réduisent radicalement l’approvisionnement en glucose du cerveau et du reste du système nerveux, ce qui peut entraver le fonctionnement des organes, des sens et de l’esprit.

Pendant les 1ères étapes d’un déséquilibre nerveux, une personne peut développer des envies de nourriture, particulièrement de sucreries ou de farineux, et avoir de fréquentes sautes d’humeur ou des tensions émotives.

La diminution des protéines du plasma ainsi que des facteurs de coagulation du sang à partir d’acides aminés, formés par le foie, peut causer des saignements capillaires spontanés, des hémorragie. Si une hémorragie a lieu dans le cerveau, elle peut causer la destruction de tissu du cerveau, la paralysie ou la mort. L’intensité des saignements est déterminée par des variables telles que l’hypertension et la consommation d’alcool.

Les calculs biliaires dans le foie et la vésicule biliaire réduisent les sels biliaires indispensables à la aux intestins, qui mal-absorbent les lipides et réduit la vitamine K, élément essentiel pour la synthèse des facteurs de coagulation, emmagasinée par le foie.

Des désordres vasculaires dus aux calculs biliaires dans le foie modifient l’épaisseur du sang, durcissent les vaisseaux sanguins et peuvent mener au détachement d’un caillot de sang (embole), causant une ischémie ou un infarctus ou une crise d’apoplexie (cerveau).

L’interruption des fonctions du foie a un effet particulièrement néfaste sur les atrocytes (cellule du tissu primaire du système nerveux central), menant à l’apathie, troubles de l’orientation, délire, rigidité musculaire, coma. Les déchets bactériens azotés absorbés par le côlon et non désintoxiqués par le foie, peuvent atteindre les cellules du cerveau via le sang. Les autres déchets métaboliques, tels que l’ammoniaque, peuvent atteindre des concentrations toxiques, modifier la perméabilité des vaisseaux sanguins dans le cerveau et réduire l’efficacité de la barrière hémato-encéphalique.

Des neurones insuffisamment nourris atrophient le tissu neuronal, ce qui mène à la démence ou la maladie d’alzheimer, tandis que la sous-alimentation des neurones, responsables de la production du neurotransmetteur dopamine, mène à la maladie de Parkinson. La sclérose en plaques (SEP) résulte d’une sous-alimentation des cellules qui produisent la myéline (gaine de graisse entourant les axones des cellules nerveuses), est le signe d’une congestion du gros intestin, empêchant une absorption correcte des substances nutritives.

La malabsorption des lipides par le foie, due aux calculs biliaires impacte le développement et le fonctionnement du cerveau, composé à plus de 10% de cholestérol (matière sèche), protégeant les nerfs contre les dommages ou les blessures.

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Troubles du système urinaire

Le système urinaire est constitué 2 reins, qui forment et excrètent l’urine. Un bon fonctionnement du système urinaire est essentiel afin de maintenir l’équilibre entre l’eau et les substances qui y sont dissoutes, ainsi que l’équilibre acidobasique. Ce système est actif dans l’élimination des déchets résultant de la dégradation (le catabolisme) des protéines cellulaires dans le foie.

100 à 150 litres de filtrat sont formés chaque jour par les deux reins et 1 à 1,5 litres sont excrétés sous forme d’urine. A l’exception des globules, les protéines des plaquettes de sang et toutes les autres composantes sanguines doivent passer par les reins.

Les calculs biliaires dans le foie et dans la vésicule biliaire réduisent la quantité de bile nécessaire pour digérer convenablement la nourriture. Une bonne partie de la nourriture non digérée commence à fermenter et putréfier, faisant ainsi passer des déchets toxiques dans le sang et dans la lymphe.

Quand les toxines acides sont déchargées dans le tissu conjonctif plus rapidement qu’elles ne sont neutralisées par le bicarbonate de soude secrété par le corps dans le sang et éliminées par les organes excréteurs. L’épaississement du tissu conjonctif par les déchets empêche l’absorption des éléments nutritifs, l’eau et l’oxygène par les cellules des organes, souffrant de sous-alimentation, de déshydratation et du manque d’oxygène.

Les protéines d’origine animale, en tant que substances des plus acides, sont mal traitées par le foie, quand il est obstrué par les calculs biliaires. Les protéines excessives sont « temporairement » emmagasinées dans le tissu conjonctif, puis sont transformées en fibre de collagène. Les fibres de collagène sont stockées dans les membranes basales peuvent devenir jusqu’à 10 fois plus épaisses que normales. Une situation similaire se passe dans les artères. Vu que les parois des vaisseaux sanguins deviennent de plus en plus encombrées, moins de protéines peuvent quitter le sang. Vu que les parois des vaisseaux sanguins deviennent de plus en plus encombrées, moins de protéines peuvent quitter le sang. Ceci mène à un épaississement du sang, ce qui le rend de plus en plus difficile à filtrer par les reins. En même temps, les membranes basales des vaisseaux sanguins qui nourrissent les reins, deviennent aussi encombrées, ce qui les rend dures et rigides. Au plus, la tension à l’intérieur augmente, au plus les reins souffrent et commencent à dégénérer. De plus en plus de déchets métaboliques, excrétés par les cellules rénales, et qui sont normalement éliminés via les vaisseaux sanguins veineux et les conduits lymphatiques, s’accumulent dans les reins et affaiblissent d’autant plus leur fonctionnement.

Les reins ne peuvent plus maintenir l’équilibre de liquides et d’électrolytes dans le corps. Les composantes urinaires peuvent précipiter, former des cristaux et des calculs de types, de tailles diverses. Des calculs urinaires acides dans l’urine dépasse 2-4 mg %. L’acide urique est un dérivé de la transformation des protéines dans le foie. Les calculs formés suite à des concentrations d’acide urique supérieures à 4 mg % peuvent mener à une obstruction urinaire, à une infection des reins et, finalement, à l’échec rénal.

Comme les cellules des reins sont de plus en plus privées d’éléments nutritifs vitaux, y compris d’oxygène, des tumeurs malignes peuvent s’y développer. Les cristaux d’acide urique qui ne sont pas éliminés par les reins peuvent se loger dans les articulations et causer du rhumatisme, la goutte et de la rétention d’eau.

Un sang toxique, rempli de petites molécules, de déchets et d’un excès de protéines provoque un mauvais fonctionnement des reins jusqu’aux maladies : l’hypertension, l’hypotension, une urine brun sombre, une soif excessive, une augmentation de la miction, une faible quantité d’urine par jour (500 ml), la pression dans la vessie, pigmentation de la peau et plus brune, chevilles gonflées…

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Troubles des organes reproducteurs

Les calculs biliaires dans le foie réduisent le flux de bile dans les voies biliaires, altère la digestion et déforme la structure des lobules hépatiques, producteurs de sérumalbumine, protéine abondante responsable de la pression osmotique du plasma à son niveau normal de 25mmHg et des taux constants de facteurs de coagulation.

Une pression osmotique insuffisante réduit l’approvisionnement en substances nutritives les cellules, les organes reproducteurs, affaiblit le drainage lymphatique, causant les oedèmes, la rétention d’eau, de déchets métaboliques, de cellules mortes. Cela mène à des troubles graduels des fonctions sexuelles.

La plupart des maladies du système reproducteur résultent d’un mauvais drainage lymphatique, causé par un grand canal thoracique bouché en présence de calculs biliaires dans le foie altérant la digestion et l’absorption correcte de la nourriture.

Un mauvais drainage lymphatique dans le région du bassin chez la femme mène à une immunité réduite, à des problèmes de menstruation, au syndrome pré-menstruel, à des troubles ménopausiques, à la maladie pelvienne inflammatoire (PID), à la cervicité, à toutes sortes de maladies utérines, à une dystrophie vulvaire, à des kystes ovariens et des tumeurs, à la destruction cellulaire, à un manque d’hormones, à une réduction de libido, à la stérilité et à des mutations génétiques cellulaires menant au cancer.

Une obstruction du canal thoracique peut mener à une accumulation de substances nocives, causant des inflammations, des nodules, un blocage de la lactation, des tumeurs cancéreuses au sein droit ou gauche.

Une restriction continue du drainage lymphatique dans la région pelvienne chez l’homme peut causer un agrandissement bénin et malin de la prostate, une inflammation des testicules, du pénis et de l’urètre. Les maladies vénériennes se développent quand il y a un taux de toxicité élevé dans les parties exposées du corps. Une infection microbienne est toujours précédée d’une grave congestion lymphatique. La capacité de plus en plus réduite du système lymphatique (incluant le système immunitaire) à repousser les microorganismes envahisseurs cause des troubles reproducteurs et sexuels.

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz

Pour aller plus loin : Nettoyage du Foie | Irrigation du Côlon | Nettoyage des Reins

Cystites et infections urinaires féminines

Les cystites sont des inflammations de la vessie, le plus souvent causées par des bactéries, plus rarement par des virus, des champignons, ou des parasites. Certaines, rares, sont liées à des maladies auto-immunes.

Les cystites sont fréquentes chez les femmes, dont l’anatomie favorise la colonisation bactérienne rétrograde de leur vessie par les microbes du tube digestif (anus).
Les cystites sont dites « aiguës simples » quand les patients ne présentent que des signes vésicaux d’apparition brutale. Elles sont dites compliquées lorsqu’existent des signes de gravité ou des complications.

Les cystites aiguës sont dites récidivantes lorsqu’on en souffre trois fois et plus dans une année, lorsqu’on recense 2 autres épisodes dans les 6 derniers mois, ou que le dernier épisode remonte à moins de 3 mois.

Les cystites interstitielles sont des inflammations durables de la paroi vésicale, par altération cellulaire et dégradation de la protection locale, sans précision des causes.

Les cystites à « urines claires » sont des inflammations sans infection. Elles pourraient représenter quatre cystites sur dix en consultation médicale de ville (Etude BaCyst, Journées Nationales d’Infectiologie, 2011).

Risques

Très peu de données épidémiologiques pour une pathologie qui selon les spécialistes toucherait une femme sur deux au cours de sa vie (Collège universitaire des enseignants en néphrologie, 2011). Les cystites représentent la deuxième localisation infectieuse en médecine générale, après les infections respiratoires.

Leur répercussion sur la qualité de vie est nette en raison de la douleur, surtout si ces infections se répètent. Leur fréquence augmentant avec l’activité génitale, elles peuvent freiner la vie sexuelle considérablement.

Les cystites infectieuses peuvent se compliquer, par extension de l’infection aux reins, la pyélonéphrite, puis par passage dans le sang (septicémie). La pyélonéphrite provoque de la fièvre (38-39°), des frissons, une douleur lombaire brutale du côté du rein atteint. La pyélonéphrite non soignée fait courir un risque de détérioration définitive du rein atteint. C’est une urgence médicale.

Une cystite chez un homme est en soi une cystite compliquée, car son anatomie fait normalement obstacle à l’infection.
Une cystite chez la femme enceinte et la femme ménopausée est compliquée d’office. Elle requiert une prise en charge médicale rapide.

Les autres facteurs de gravité permettant de parler de cystite compliquée sont :

– la rechute précoce moins de 7 jours après le traitement d’une précédente cystite et les récidives fréquentes ;
– la présence de sang visible dans les urines (autres diagnostics à évoquer impérativement) ;
– les anomalies de l’appareil urinaire (reflux urétéral, etc.) ;
– les maladies associées favorisant l’infection (diabète, cancer, immunodépression, maladie de foie) ;
– les calculs dans la vessie ou les reins.

Cystitis are bladder inflammation, usually caused by bacteria, more rarely by viruses, fungi, or parasites. Certain, rare, are related to autoimmune diseases.

Cystitis are common in women, whose anatomy promotes bacterial colonization of their retrograde bladder by microbes of the digestive tract (anus).
Cystitis are called « single severe » when patients have only bladder signs of sudden onset. They are called complex where viable signs of severity or complications.

Acute cystitis is called recurrent when it suffers three or more times in a year, when two lists other episodes in the last six months, or the last episode goes back less than three months.

Interstitial cystitis are durable inflammation of the bladder wall, by cellular damage and degradation of local protection, unspecified causes.

Cystitis to « clear urine » is inflammation without infection. They could represent four ten cystitis city medical consultation (Study BaCyst, National Days of Infectious Diseases, 2011).

Risks

Very few epidemiological data to a condition that according to specialists affect one in two women in his life (University College Teachers nephrology, 2011). Cystitis is the second infectious localization in general medicine, after respiratory infections.

Their impact on the quality of life is clear due to pain, especially if these infections are repeated. Their frequency increases with genital activity, they can stop the sexual life considerably.

Infectious cystitis may be complicated by extension of kidney infection, pyelonephritis, and then by passing through the blood (sepsis). Pyelonephritis causes fever (38-39 °), chills, back pain brutal side of the affected kidney. The untreated pyelonephritis poses a risk of permanent damage kidney reached. This is a medical emergency.

Cystitis in a man is in itself a complicated cystitis because its anatomy normally prevent infection.
Cystitis in pregnant women and postmenopausal women is complicated automatically. It requires taking rapid medical care.

Other factors of gravity to speak of complicated cystitis are:

– Early relapse within 7 days after treatment of a previous cystitis and frequent recurrences;
– The presence of visible blood in the urine (other diagnoses to evoke essential);
– Abnormalities of the urinary tract (ureter reflux, etc.);
– Associated diseases favoring infection (diabetes, cancer, immunosuppression, liver disease);
– Calculations in the bladder or kidneys.

Coliques néphrétiques

La colique néphrétique est un syndrome douloureux lombo- abdominal aigu résultant de la mise en tension brutale de la voie excrétrice du haut appareil urinaire, en amont d’une obstruction, quelle qu’en soit la cause.

Cette définition médicale peut se dire plus simplement ainsi : quelque chose bloque la voie de sortie de l’urine (uretère) qui va du rein à la vessie.

L’urine s’accumule en amont du blocage et distend rapidement l’uretère puis le rein. Cette distension est très douloureuse et agite le patient ; on parle populairement de « colique frénétique ». C’est une urgence médicale.

Risques

Le risque est de détériorer le rein bloqué par l’urine qui ne s’évacue plus : on parle d’insuffisance rénale. L’infection des urines stagnantes est aussi à craindre, elle peut s’étendre rapidement au rein et contribuer à le détruire. Elle constitue un foyer de septicémie.

Pour l’Association française d’Urologie (AFU, recommandations actualisées, 2008), elle représente 1 à 2% des admissions aux urgences hospitalières, et concerne préférentiellement l’homme de 20 à 60 ans ; son taux de récidive est important (50 à 70% dans les 10 ans). Dans une communication récente (Bensalah et Gautier, congrès de l’AFU, 2011), une étude épidémiologique estime à 100 000 le nombre de coliques néphrétiques annuelles, en France. La moitié serait due à des calculs inférieurs à 6 mm.

La cause de l’obstruction urinaire est donc une lithiase (calcul) dans la grande majorité des cas ; or la fréquence des calculs urinaires croît régulièrement dans le monde, en rapport avec la modification de l’alimentation et de l’hygiène de vie, ainsi que par les médicaments et les maladies qui favorisent leur survenue.

Renal colic is a painful acute abdominal lombo- syndrome resulting from the sudden tensioning of the urinary tract of the upper urinary tract, upstream obstruction, whatever the cause.

The medical definition can say simply this: something is blocking the way out of the urine (ureter) that goes from the kidney to the bladder.

The urine builds up upstream of the blocking and rapidly distends the ureter and kidney. This distension is very painful and agitated patient; is popularly referred to as « frantic colic. » This is a medical emergency.

Risks

The risk of damaging the kidney blocked urine that drains more: we speak of kidney failure. Infection of stagnant urine is also a risk, it can quickly spread to the kidneys and help destroy it. It is a sepsis home.

For the French Association of Urology (AFU, updated recommendations, 2008), it represents 1 to 2% of admissions to hospital emergency and preferentially concerns man of 20-60 years; the recurrence rate is high (50-70% in 10 years). In a recent communication (Bensalah and Gautier, Congress EBA, 2011), an epidemiological study estimated 100,000 the number of annual renal colic, France. Half was due to the calculations below 6 mm.

The cause of urinary obstruction is a lithiasis (calculation) in the majority of cases; or the frequency of urinary stones steadily growing in the world, in connection with the change of diet and lifestyle, as well as drugs and diseases that promote their occurrence.

Cancer du testicule

C’est le cancer le plus fréquent chez le jeune adulte (moins de 45 ans). En 2005, environ 2 000 cas ont été diagnostiqués en France. Diagnostiqué tôt, ce cancer a un très bon pronostic. Le taux de guérison peut atteindre 100%.

Causes

L’ectopie (lorsque la migration des testicules de l’abdomen vers les bourses n’a pas eu lieu) est la première cause de cancer. L’atrophie testiculaire (testicule de très petite taille) est également un facteur favorisant. Ce cancer n’est pas héréditaire.

This is the most common cancer in young adults (under 45). In 2005, about 2,000 cases were diagnosed in France. Diagnosed early, this cancer has a good prognosis. The cure rate can reach 100%.

causes

The ectopia (when the migration of the testicles from the abdomen to the grants did not occur) is the leading cause of cancer. Testicular atrophy (testicles very small) is also a contributory factor. This cancer is not hereditary.

Cancer du sein

Le cancer du sein est une transformation maligne des cellules constituant la glande mammaire. Comme ces cellules sont variées, les cancers ou néoplasies qui en dérivent le sont aussi. Il n’y a donc pas un mais DES cancers du sein. Les seins sont des glandes chargées de produire du lait. Ils se divisent en 15 à 20 lobes, divisés eux-mêmes en nombreux lobules qui s’achèvent en minuscules bulbes sécrétant le lait.

Les lobes, lobules et bulbes sont reliés entre eux par les canaux galactophores. Ceux-ci aboutissent au mamelon, situé au centre d’une zone pigmentée, l’aréole.

Le tissu mammaire se compose surtout de cellules luminales produisant le lait, et de cellules basales myoépithéliales qui l’expulse lors de l’allaitement. La classification des cancers du sein s’est affinée grâce aux analyses de l’ADN cellulaire (analyses génomiques). On distingue désormais le cancer luminal, le cancer basal-like, et le cancer HER2+.

Risques

Cancer féminin le plus fréquent et deuxième cancer dans l’ensemble de la population après celui de la prostate, le cancer du sein est un problème majeur de santé publique. En 2011, 53.000 nouveaux cas de cancer du sein ont été diagnostiqués en France*. On estime que une femme sur 9 développera un cancer du sein au cours de sa vie. Si la maladie touche essentiellement les femmes, elle concerne aussi les hommes : 0,5% des cancers du sein sont masculins.

Entre 1980 et 2005, l’augmentation de 138 % du nombre de ces cancers s’explique en partie par l’allongement de la durée de la vie et les effets du dépistage généralisé. Certaines études évoquent aussi les risques environnementaux ou comportementaux, comme l’âge au premier enfant et certains traitements hormonaux de la ménopause.

Comme dans d’autres pays développés, la progression française s’est stabilisée depuis 2004, l’incidence semble même diminuer (données de l’Assurance Maladie). Même si les changements d’habitudes vis-à-vis des traitements hormonaux sont souvent évoqués, un peu de recul sera nécessaire pour réellement confirmer et comprendre cette diminution.

Breast cancer is a malignant transformation of the cells constituting the mammary gland. As these cells are varied, cancers or neoplasms derived from them are also. So there is not one but DES breast cancer. The breasts are glands responsible for producing milk. They are divided into 15 to 20 lobes, themselves divided into many lobules which end in tiny bulbs secreting milk.
The lobes, lobules, and bulbs are linked by the milk ducts. These lead to the nipple in the center of a pigmented area, the areola.

Breast tissue consists mainly of luminal cells producing milk, and basal myoepithelial cells that expels when breastfeeding. The classification of breast cancers has been refined through analysis of cellular DNA (genomic analysis). We now distinguish luminal cancer, basal-like cancer and HER2 + cancer.

Risks

The most common female cancer and cancer in the second set of the population after the prostate, breast cancer is a major public health problem. In 2011, 53,000 new cases of breast cancer were diagnosed in France *. It is estimated that one woman in nine will develop breast cancer during her life. If the disease mainly affects women, also for men: 0.5% of breast cancers are male.

Between 1980 and 2005, 138% increase in the number of cancers is partly explained by the longer duration of life and the effects of widespread screening. Some studies also suggest environmental or behavioral risks such as age at first child and some hormone treatments for menopause.

As in other developed countries, French growth has stabilized since 2004, the incidence seems even decrease (data from the Health Insurance). While changes vis-à-vis habits hormonal treatments are often mentioned, hindsight will be needed to actually confirm and understand this decline.

Cancer du rein

Le plus fréquent des cancers du rein (90% des cas) est l’adénocarcinome. Cette pathologie est rare avant 40 ans : la moitié des cas sont diagnostiqués chez des personnes âgées de 50 à 70 ans.Plus de 7 900 nouveaux cas de cancer du rein sont diagnostiqués chaque année en France. Ce cancer représente 2,5 % de l’ensemble des cancers. Dans 68 % des cas, il touche des hommes. Par sa fréquence, il se situe au 7e rang des cancers masculins et au 12e rang des cancers féminins. Il tue un près de 3 700 personnes par an.

Risques

Le tabagisme est un facteur de risque de cancer du rein : cette pathologie touche deux fois plus souvent les fumeurs que les non fumeurs.
Les patients atteints d’une maladie rénale qui nécessite des séances de dialyse régulières présentent également un risque accru de développer un cancer de rein.
Enfin, le risque de développer un cancer du rein est très élevé chez les patients atteints par la maladie de Von Hippel-Lindau. Il s’agit d’une maladie génétique qui se caractérise par une anomalie de formation des vaisseaux.

The most common cancers of the kidney (90% of cases) is adenocarcinoma. The disease is rare before 40 years: half of the cases are diagnosed in people aged 50-70 ans.Plus of 7900 new cases of kidney cancer are diagnosed each year in France. This cancer accounts for 2.5% of all cancers. In 68% of cases, it affects men. By frequency, it is 7th among male cancers and 12th of female cancers. It kills nearly 3700 people annually.

Risks

Smoking is a risk factor for kidney cancer: this disease affects twice as often smokers than nonsmokers.
Patients with kidney disease who require regular dialysis sessions are also at increased risk of developing kidney cancer.
Finally, the risk of developing kidney cancer is very high in patients by Von Hippel-Lindau. This is a genetic disorder that is characterized by a formation of abnormal vessels.

Cancer du col de l’utérus

L’utérus est un organe creux, en forme de poire, situé dans la partie inférieure de l’abdomen de la femme, entre la vessie et le rectum. L’embryon s’y développe depuis la fécondation de l’œuf jusqu’à la naissance.

Pendant la grossesse, la taille de l’utérus augmente. Quand la femme n’est pas enceinte, l’utérus est de petite taille (une dizaine de centimètres de long).

La partie inférieure la plus étroite de l’utérus, qui ouvre sur le vagin, est le col ; les tumeurs apparaissant sur cette partie de l’utérus sont appelées cancers du col de l’utérus

Causes

Il peut apparaître dans toutes les tranches d’âge à partir de 25-30 ans. Il n’est pas lié à des facteurs héréditaires, mais à une infection par un virus de la famille des papillomavirus (HPV), sexuellement transmissible.

Le cancer du col de l’utérus, tout comme les autres cancers, n’est pas contagieux. Mais le HPV, lui, l’est. C’est un virus extrêmement répandu, qui peut provoquer des lésions précancéreuses (dites condylomes ou dysplasies), dont la gravité augmente avec le temps et qui, si elles ne sont pas traitées, risquent parfois de dégénérer et de former un cancer.

A l’inverse, les femmes non infectées par le HPV ont un risque nul de développer un cancer du col.

Cancer des ovaires

Composés de différents tissus, les ovaires sont des glandes génitales féminines situés de chaque côté de l’utérus auquel ils sont reliés par les trompes de Fallope.

Ils ont deux fonctions : produire des ovules et sécréter des hormones sexuelles (estrogènes et progestérone).

Causes

Il existe plusieurs facteurs de risque du cancer des ovaires :

L’âge.
L’âge est le principal facteur de risque, en effet le risque de développer un cancer de l’ovaire augmente régulièrement avec l’âge.

Les facteurs familiaux.
Les cancers familiaux ne représenteraient que 5 à 10% des cas. Les gènes actuellement identifiés pour leur implication dans la prédisposition au cancer de l’ovaire sont les mêmes que ceux du cancer du sein ; le gène BRCA 1 et plus rarement le gène BRCA 2.

Aussi, lorsqu’il existe plusieurs cas de cancers de l’ovaire ou du sein dans une même famille, une consultation d’oncogénétique doit être envisagée.

Les facteurs hormonaux.
Des études montrent que le risque pourrait être plus élevé chez les femmes qui présentent des troubles du fonctionnement ovarien comme la stérilité. L’utilisation des traitements de la ménopause ne semble pas avoir d’influence importante sur le risque de cancer de l’ovaire.

Compounds of different tissues, the ovaries of female genital glands on each side of the uterus to which they are connected by the fallopian tubes.

They have two functions: producing eggs and secrete sex hormones (estrogen and progesterone).

Causes

There are several risk factors for ovarian cancer:

Age.
Age is the main risk factor, indeed the risk of developing ovarian cancer increases steadily with age.

Family factors.
The familial cancers account for only 5-10% of cases. Currently identified genes for involvement in susceptibility to ovarian cancer are the same as those of the breast cancer; BRCA 1 and BRCA 2 rarely.

Also, when there are several cases of ovarian or breast cancer in the same family, a cancer genetics of consultation should be considered.

Hormonal factors.
Studies show that the risk may be higher in women with ovarian function disorders such as infertility. The use of treatments for menopause does not appear to have a significant influence on the risk of ovarian cancer.