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Millepertuis

A l’époque druidique, le Millepertuis était considéré comme une plante bénie, dont l’odeur seule suffisait à chasser les mauvais esprits (son surnom de Chasse-Diable, Fuga démonium, lui vient de l’époque gallo-romaine).

Comme dit le Dr Leclerc , « on remplirait un volume des vertus que les Anciens lui prêtaient… », mais ces vertus d’antan sont, de nos jours, bien oubliées.

Cazin l’utilisait encore, au siècle dernier, contre les maladies de poitrine : asthme et catarrhe bronchique.

La plante était aussi renommée contre les leucorrhées ; Olivier de Serres, déjà, la disait bonne « pour émouvoir les fleurs des femmes ».

Mais la grande renommée du Millepertuis, qui a subsisté jusqu’à nos jours, est d’être un merveilleux vulnéraire, que les chirurgiens de Montpellier estimaient déjà à nul autre pareil.

On l’utilisait à l’intérieur comme cordial et, à l’extérieur, pour les pansements. Sec, il entrait avec la racine d’Angélique, dans le baume de Commandeur, dont l’usage populaire était général, et à l’état frais, avec des tas d’autres plantes aromatiques, il composait l’alcoolat vulnéraire appelé familièrement « eau d’arquebusade ».

De nos jours « l’huile rouge » continue dans certaines régions de France, en Suisse et en Europe Centrale, à cicatriser et aseptiser les plaies et à guérir les brûlures, et c’est sans doute uniquement sous cette forme (ou sous le nom d’Hypericum homéopathique) que le Millepertuis continue à panser nos maux.



Famille des Hypericacées.

On le surnomme Trucheron, Herbe de la Saint-Jean ou, le plus souvent, Herbe aux piqûres et Chasse-diable.

Commun dans les lieux secs, les bois, les champs incultes et le bord des chemins.

Interne

Infusion. 15 à 30 g de sommités fleuries par litre d’eau (3 tasses par jour entre les repas) contre l’asthme et la leucorrhée.

Vin. Laisser macérer, durant 10 jours, de 30 à 50 g de plante. Prendre 2 verres à liqueur entre les repas.

Externe

Décoction. Concentrée. Elle peut servir en injections ou pour le lavage des plaies. En lotions tièdes, elle apaise l’irritation des peaux fines et hypersensibles. Pour tonifier merveilleusement la peau, ajouter à l’eau du bain 4 à 5 litres de cette décoction.

Huile rouge (l’oli rougé des Provençaux). Faire macérer pendant 4 jours une livre de fleurs fraîches dans un litre d’huile d’olive et un demi-litre de vin blanc. Faire ensuite bouillir au bain-marie jusqu’à évaporation complète du vin. Après avoir filtré, répartir dans de petits flacons l’huile obtenue, d’un beau rouge cramoisi. On imbibe des compresses avec cette huile.

  • Vulnéraire

Esthétique

Les propriétés antiseptiques et astringentes du millepertuis sont utilisées pour le traitement des peaux grasses. Ce type de peaux nécessite, en effet, un démaquillage particulier pour débarrasser parfaitement les pores dilatés des impuretés qui les obstruent. On peut appliquer sur le visage une décoction de 15 grammes de sommités fleuries par litre d’eau. Cette préparation lutte également contre la formation des rides.

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