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Système digestif

Cancer du pancreas

Oui, on distingue deux principaux types de cancers du pancréas selon le lieu de localisation de la tumeur. Dans la grande majorité des cas (90 à 95%), le cancer touche la partie exocrine du pancréas. On parle alors d’adénocarcinome pancréatique. Surviennent aussi, mais de façon très exceptionnelle, des tumeurs exocrines différentes des adénocarcinomes, très difficiles à différencier.

Risques

Les facteurs de risque du cancer du pancréas sont pour la plupart encore mal connus. On sait que le tabagisme (qui multiplie le risque par deux ou trois) et le diabète peuvent être impliqués dans certaines formes, sans forcément être déterminants. D’autre part, certaines affections, comme la pancréatite chronique*, ou certaines autres tumeurs peuvent jouer un rôle, ainsi que certaines maladies génétiques qui prédisposent au cancer.

Yes, there are two main types of pancreatic cancers by place of location of the tumor. In the vast majority of cases (90-95%), cancer affects the exocrine portion of the pancreas. This is called pancreatic adenocarcinoma. Occur too, but in very exceptional cases, exocrine tumors of various adenocarcinomas, very difficult to differentiate.

risks

Pancreatic cancer risk factors are mostly poorly understood. It is known that smoking (which increases the risk of two or three) and diabetes may be involved in some forms, not necessarily be determinants. On the other hand, some conditions, such as chronic pancreatitis *, or some other tumors may play a role, and certain genetic diseases that predispose to cancer.

Cancer du foie

On distingue deux types de cancer du foie :

Le cancer primitif du foie ou carcinome hépatocellulaire (CHC) qui se développe à partir de cellules du foie.

Le cancer secondaire, lorsque le foie est atteint par des cellules cancéreuses issues d’une autre localisation. On parle alors de métastases hépatiques.

Causes

9 fois sur 10, le CHC se développe sur une cirrhose. La cirrhose est le résultat d’une lente transformation du foie en un organe dur à surface irrégulière. Le foie cirrhotique est constitué progressivement d’un tissu cicatriciel qui remplace peu à peu les cellules indispensables à son fonctionnement.

La cirrhose représente un risque élevé de développer des nodules (structure arrondie et dure) qui pourront devenir cancéreux.

Les causes d’une cirrhose ne sont pas toutes limitées à l’alcool même si sa consommation excessive — et sur une longue période de la vie — est à l’origine de plus des deux tiers de la maladie en France. Les cirrhoses qui n’ont pas l’alcool pour cause peuvent être provoquées, notamment, par des hépatites virales (virus B, C, D), lorsqu’elles sont chroniques.

À côté de l’alcool et des hépatites virales, la cirrhose peut aussi être due à des maladies génétiques (hémochromatose, maladie génétique caractérisée par une surcharge en fer de l’organisme), une atteinte du système de défense immunitaire (hépatite auto-immune), une maladie du métabolisme.

There are two types of liver cancer:

The primary liver cancer or hepatocellular carcinoma (HCC) that develops from liver cells.

The secondary cancer, when the liver is achieved by cancer cells from another location. This is known as liver metastases.

Causes

9 times out of 10 HCC develops in cirrhosis. Cirrhosis is the result of a slow transformation of the liver organ to a hard uneven surface. The cirrhotic liver has gradually formed a scar tissue that gradually replaces the cells essential to its operation.

Cirrhosis is a high risk of developing nodules (rounded and hard structure) which can become cancerous.

The causes of cirrhosis are not all limited to alcohol even if its excessive consumption – over a long period of life – is the source of more than two thirds of the disease in France. Cirrhosis who have no alcohol may be caused due to, inter alia, viral hepatitis (virus B, C, D), when they are chronic.

Next to alcohol and viral hepatitis, cirrhosis can also be due to genetic diseases (hemochromatosis, a genetic disease characterized by the body iron overload), impairment of the immune system (autoimmune hepatitis ), a metabolic disease.

Cancer de l’oesophage

Environ 6 000 nouveaux cas par an sont diagnostiqués en France. Il est en progression en particulier en raison de l’augmentation du tabagisme chez les femmes. Il reste néanmoins un cancer qui touche majoritairement les hommes (20 pour 1 femme).

Causes

L’alcool et le tabac sont responsables de la majorité des cancers de l’œsophage. Le risque dépend de l’importance de la consommation et il augmente très nettement en cas d’intoxication mixte à l’alcool et au tabac.

D’autres facteurs favorisants ont été identifiés, comme la consommation de conserves artisanales, de salaisons, de viandes cuites au barbecue ou encore de boissons brûlantes. Les carences en vitamines augmentent le risque de cancer.

Les personnes chez qui un cancer de la sphère ORL a été diagnostiqué doivent également bénéficier d’un dépistage pour le cancer de l’œsophage. Ayant des facteurs de risque communs les deux cancers peuvent être liés.

Par ailleurs, des lésions de l’œsophage prédisposent au cancer et sont retrouvées dans environ 10% des cas.

Approximately 6000 new cases are diagnosed each year in France. There is increasing especially due to the increase in smoking among women. Nevertheless, it is a cancer that predominantly affects men (20 per 1 woman).

Causes

The alcohol and tobacco are responsible for the majority of esophageal cancers. The risk depends on the amount of consumption and it increases sharply if mixed alcohol intoxication and tobacco.

Other contributing factors have been identified, such as consumption of homemade preserves, cured meats, barbecued meat or even hot drinks. Vitamin deficiencies increase the risk of cancer.

People in whom cancer of the head and neck was diagnosed should also be screened for esophageal cancer. With common risk factors both cancers can be linked.

Furthermore, lesions of the esophagus and predispose to cancer are found in about 10% of cases.

Cancer de l’estomac

En 2005, selon l’Institut national de veille sanitaire, plus de 6 700 cas de cancers de l’estomac ont été diagnostiqués. Il se situe, par sa fréquence, au 9ème rang chez l’homme et au 13ème rang chez la femme.

Causes

L’alimentation
Une alimentation riche en aliments salés ou fumés augmente le risque de développer un cancer de l’estomac. En revanche, une alimentation riche en fruits et légumes diminuerait le risque.

L’hélicobacter pylori
Il s’agit d’une bactérie qui infecte l’estomac. Cette infection peut entraîner une gastrite. Des études ont permis de montrer que le risque de développer un cancer de l’estomac est 2 à 3 fois plus élevé chez les personnes qui ont été infectés par cette bactérie.

Les antécédents personnels
La gastrite atrophique (lésions précancéreuses) entraîne une augmentation du risque de cancer de l’estomac, de même que la présence de polypes gastriques, d’un ulcère gastrique. Les antécédents de chirurgie gastrique augmentent également ce risque.

Le tabac
Le tabac favorise aussi l’apparition d’un cancer de l’estomac.

In 2005, according to the National Institute of Health Surveillance, more than 6700 cases of stomach cancer were diagnosed. It is, by its frequency, to rank ninth in men and the 13th rank in women.

Causes

Power
A diet high in salted, smoked foods increases the risk of developing stomach cancer. In contrast, a diet rich in fruits and vegetables reduce the risk.
Helicobacter pylori
It is a bacterium that infects the stomach. This infection can cause gastritis. Studies have shown that the risk of developing stomach cancer is 2-3 times higher in people who have been infected with this bacterium.
Personal history
Atrophic gastritis (precancer) increases the risk of stomach cancer, as well as the presence of gastric polyps, gastric ulcer. The history of gastric surgery also increase this risk.
Tobacco
Tobacco also promotes the development of stomach cancer.

Cancer colorectal

Le côlon, appelé également gros intestin, correspond à la partie terminale de l’intestin longue d’environ 1,50 à 1,80 m. Les 20 derniers centimètres du côlon constituent le rectum. Une fois la nourriture digérée, les résidus solides se déplacent dans le côlon puis dans le rectum jusqu’à l’anus ou ils sont expulsés de l’organisme

Causes

Les travaux scientifiques ont montré que certains facteurs peuvent augmenter les risques de développer un cancer colorectal :

Les facteurs génétiques:
Certaines maladies d’origine génétique augmentent le risque de survenue de cancers colorectaux.

Les antécédants familiaux:
Le risque d’apparition d’un cancer colorectal est plus important chez une personne dont un des parents du premier degré (père ou mère, frères ou sœurs, enfant) a été atteint de ce type de cancer. Les personnes ayant eu des lésions précancéreuses (polypes…) ou un cancer colorectal ont un risque plus important de développer un cancer.

Alimentation:
L’alimentation joue un rôle important dans l’étiologie des cancers colorectaux. Le rôle protecteur des légumes et le rôle aggravant d’un apport calorique élevé sont les faits les mieux établis. Le tabac favoriserait l’apparition des polypes adénomateux et l’alcool leur augmentation de taille. Enfin, l’activité physique jouerait un rôle protecteur.

The colon, large intestine, also called, corresponds to the end portion of the long intestine of about 1.50 to 1.80 m. The last 20 centimeters of the colon is the rectum. Once digested food, the solid residues are moving in the colon and the rectum to anus or they are expelled from the body

Causes

Scientific studies have shown that certain factors can increase the risk of developing colorectal cancer:

Genetic factors:
Some genetic diseases increase the risk of developing colorectal cancer.

Family antecedents:
The risk of developing colorectal cancer is higher in a person one of whose first-degree relatives (parent, sibling, child) has been reached for this type of cancer. People who have had precancerous lesions (polyps …) or colorectal cancer have a higher risk of developing cancer.

Food:
Diet plays an important role in the etiology of colorectal cancers. The protective role of vegetables and aggravating role of a high caloric intake are the best established facts. Tobacco favor the appearance of adenomatous polyps and alcohol their size increase. Finally, physical activity plays a protective role.

Boulimie

La boulimie est un trouble du comportement alimentaire qui consiste à ingérer hors des repas et au moins 2 fois par semaine des quantités massives de nourriture dans un temps très court (en moins de 2 heures) : les médecins parlent d’hyperphagie.
Elle vise des aliments plutôt riches en calories (2000 à 5000 kcal) ou bourratifs (pain, pâtes…). Il n’y a pas de faim préalable, ni de rassasiement ou plaisir. L’ingurgitation se fait de manière compulsive (irrépressible). Plusieurs crises sont possibles dans une même journée.

Conséquences

Les vomissements provoqués pour contrer les effets de la crise boulimique exposent à une baisse du potassium sanguin, responsable de troubles du rythme cardiaques graves, comme la mort subite.
Une fois sur deux, la boulimie alterne avec l’anorexie. Nombre d’anorexiques souffrent à un moment ou à un autre de boulimie.
Un trouble du comportement alimentaire est rarement isolé, d’autres troubles mentaux l’accompagnent, qui ajoutent à la gravité.
Comme pour l’anorexie, l’anxiété et la dépression exposent à un risque suicidaire élevé. Les addictions sont présentes dans environ 30% des cas : abus d’alcool et de drogue, d’amphétamines et de tranquillisants.

Bulimia is an eating disorder that involves ingesting between meals and at least 2 times a week of massive amounts of food in a very short time (less than 2 hours): doctors talk binge.
It seeks food rather high in calories (2000-5000 kcal) or bourratifs (bread, pasta …). There is no prior hunger or satiation or pleasure. The swallowing is compulsively (unstoppable). Several crises are possible in the same day.

Consequences

Vomiting caused to counter the effects of the crisis bulimic face a decrease in blood potassium, responsible for serious heart rhythm disorders, such as sudden death.
Once two, bulimia alternates with anorexia. Many anorexics suffer at one time or another bulimia.
An eating disorder is rarely isolated, other mental disorders accompanying it, which add to the severity.
As with anorexia, anxiety and depression exhibit a high suicide risk. Addictions are present in about 30% of cases abuse of alcohol and drugs, amphetamines and tranquilizers.

Bouche Sèche

La sécheresse buccale (ou xérostomie pour les médecins) est liée à la diminution ou à la disparition de la sécrétion de salive dont le volume normal est compris entre 500 à 1500 ml/jour.

Risques

La sècheresse buccale concerne près d’un quart de la population et jusqu’à 30% des plus de 65 ans.
La salive aide au nettoyage des dents, de la plaque dentaire et des muqueuses buccales, leur permet de se défendre contre les infections et constitue la première étape de la digestion des aliments. La diminution de la salive favorise donc les petites plaies de la bouche (en particulier au niveau des prothèses dentaires), de la langue et des lèvres ; ainsi que les caries dentaires, les infections des gencives et les candidoses buccales, voire une atteinte osseuse des maxillaires.
La bouche sèche gêne la mastication, la digestion des aliments (les enzymes contenus dans la salive ramollissent le bol alimentaire), la déglutition et la parole. Chez les gens âgés, le manque de salive persistant risque d’aboutir à la dénutrition.

Dry mouth (xerostomia or for Physicians) is linked to the decrease or disappearance of the secretion of saliva which the normal volume is between 500 to 1500 ml / day.

Risks

Dry mouth affects nearly a quarter of the population and up to 30% over 65 years.
Saliva helps clean teeth, dental plaque and oral mucosa, allowing them to defend against infections and is the first step in digestion of food. The decrease in saliva thus favors small wounds of the mouth (particularly in dentures), tongue and lips; as well as tooth decay, infections of the gums and oral candidiasis or maxillary bone involvement.
Dry mouth discomfort chewing, digesting food (the enzymes in saliva soften the food bowl), swallowing and speech. In elderly people, the continuing lack of saliva may lead to malnutrition.

Botulisme Alimentaire

Le botulisme est une maladie causée par une bactérie appelée Clostridium botulinum transmise par l’alimentation.
Clostridium botulinum produit des toxines (les médecins parlent d’intoxination) qui contaminent l’organisme humain et peuvent être mortelles.
Le botulisme est rare et le plus souvent transmis par voie alimentaire, plus rarement par blessure (contamination d’une blessure avec pénétration des toxines dans le sang).La bactérie responsable du botulisme est très courante dans l’environnement comme le sol, l’eau ou les produits agricoles.

Risques / Causes

Le botulisme est une pathologie rare en France, avec une incidence de l’ordre de 0,5 pour 1 000 000 d’habitants.Il s’agit d’une maladie à déclaration obligatoire. Les foyers de botulisme récents sont d’origine alimentaire, avec des contaminations à partir de conserves familiales, de salaisons ou de charcuteries. Les toxines sont en général directement présentes dans les aliments incriminés et la contamination d’une personne à une autre est impossible.
La prévention passe par des mesures industrielles : les fabricants de conserves par exemple sont tenus d’utiliser des processus thermiques qui détruisent les spores de Clostridium botulinum. Les nitrites ajoutés dans les aliments permettent également une réduction du risque de botulisme.

Clostridium botulinum est une bactérie qui ne peut vivre en présence d’air (on parle de bactérie anaérobie stricte) et qui est très courante dans l’environnement.
Cette bactérie a la capacité de produire des toxines (on en dénombre 7 types, de A à G). Une fois dans l’organisme, par ingestion d’un aliment contaminé le plus souvent, ces toxines s’attaquent au système nerveux et provoquent des paralysies à l’origine des symptômes voire du décès.

Botulism is a disease caused by a bacterium called Clostridium botulinum transmitted by food.
Clostridium botulinum produces toxins (doctors talk to intoxination) that contaminate the human body and can be fatal.
Botulism is rare and most often transmitted through food, more rarely by injury (contamination of a wound with penetration of toxins in the blood) .The bacteria responsible for botulism is very common in the environment such as soil, water or agricultural products.

Risks / Causes

Botulism is a rare disease in France, with an incidence of about 0.5 per one million of habitants.Il is a notifiable disease. Recent outbreaks of botulism are foodborne with contamination from family preserves, cured meats or meats. The toxins are usually directly present in foods implicated and contamination from one person to another is impossible.
Prevention involves industrial action: eg canned manufacturers are required to use thermal processes that destroy spores of Clostridium botulinum. Nitrites added to foods also help reduce the risk of botulism.

Clostridium botulinum is a bacterium that can live in the presence of air (talking strictly anaerobic bacteria) and is very common in the environment.
This bacterium has the ability to produce toxins (there are seven types A to G). Once in the body, by ingestion of contaminated food more often, these toxins attack the nervous system and cause paralysis cause symptoms or death.

Aphtes

Les aphtes sont de petites plaies ou ulcérations au niveau de la bouche le plus souvent, mais pouvant siéger à d’autres endroits (parties génitales par exemple). On parle d’aphtose quand les aphtes buccaux sont multiples et évoluent par poussées fréquentes. Les aphtes de la cavité buccale sont localisés dans les zones les plus exposées aux traumatismes comme les lèvres, l’intérieur des joues, les bords de la langue… L’évolution normale d’un aphte se fait vers la guérison sans cicatrice en 7 à 10 jours.

Risques / Causes

Les aphtes représentent un motif fréquent de consultation, notamment auprès des chirurgiens-dentistes. La plupart des aphtes sont bénins et disparaissent spontanément, mais certaines formes révèlent une maladie générale qu’il convient de diagnostiquer et traiter. Ainsi, il ne faut pas conclure soi-même un peu vite au diagnostic d’aphtes ; mieux vaut consulter, surtout en présence de signes associés en dehors de la bouche (taches cutanées, fièvre, douleurs…).

La cause précise des aphtes est inconnue. De nombreuses hypothèses ont été suggérées mais jamais démontrées (bactéries, virus, carences en fer…). L’apparition d’un aphte est probablement liée à un phénomène immunitaire spontané ou induit par l’environnement, la nourriture ou encore les médicaments. Les aphtes peuvent par exemple survenir à la suite de la prise de certains médicaments comme les antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS), les antibiotiques, les antivitamines K…
Le gruyère, les fruits secs, les noix et les noisettes, les cacahuètes, les amandes sont également pourvoyeurs d’aphtes. De même, une mauvaise hygiène buccodentaire, des irritations dans la cavité buccale ou certaines circonstances (grossesse, puberté, stress, les traumatismes : brosse à dents, morsure…) favorisent les aphtes. Des maladies générales comme la maladie de Behçet se manifestent également par une aphtose, mais d’autres symptômes sont alors présents.

Canker sores are small ulcers wounds in the mouth more often, but may sit at other places (eg genital area). There is talk of aphthosis when oral ulcers are multiple and evolving by frequent relapses. Canker sores in the oral cavity are located in the areas most exposed to trauma as the lips, the cheeks, the edges of the tongue … The normal evolution of a canker sore is healing without scarring to in 7 10 days.

Risks / Causes

Canker sores are a frequent reason for consultation, particularly among dentists. Most ulcers are benign and disappear spontaneously, but some forms reveal a systemic disease should be diagnosed and treated. Thus, one should not conclude yourself a little fast diagnosis of canker sores; better consult, particularly in the presence of associated signs outside the mouth (skin spots, fever, pain …).
The precise cause of canker sores is unknown. Many hypotheses have been suggested but not proven (bacteria, viruses, iron deficiency …). The emergence of a canker sore is probably related to a spontaneous immune phenomenon or environmentally induced, food or medicine. Canker sores may for example occur as a result of taking certain medications such as anti-inflammatory non-steroidal drugs (NSAIDs), antibiotics, anticoagulants …
Gruyere, dried fruit, walnuts and hazelnuts, peanuts, almonds are also providers of canker sores. Similarly, poor oral hygiene, irritation in the oral cavity or certain circumstances (pregnancy, puberty, stress, trauma: toothbrush, bite …) promote aphthae. General diseases such as Behçet’s disease is also manifested by aphthosis, but other symptoms are then present.

Adhérences péritonéales

Les adhérences péritonéales (ou post-opératoires) sont la complication la plus fréquente de la chirurgie abdominale et surtout gynécologique. Ces cordages fibreux, appelés « brides » par les chirurgiens, se forment à partir du péritoine, trois à cinq jours après l’intervention chirurgicale. Leur apparition se fait de manière imprévisible n’importe où dans le ventre. Formant un obstacle imprévu par la nature, ces adhérences peuvent gêner ou étrangler inopinément les viscères, principalement l’intestin grêle. Tout patient opéré doit être informé de leur possible survenue

Risques

Environ 40 % des occlusions et 70 % des occlusions de l’intestin grêle sont dues à des adhérences péritonéales. Une occlusion négligée met la vie en péril faute d’une intervention médico-chirurgicale rapide. On peut en mourir.
Outre les risques d’occlusions intestinales, les adhérences compliquent le travail du chirurgien lorsqu’il faut réintervenir chez ces patients.
Moins périlleuses mais très pénibles, les adhérences provoquent des gènes et des douleurs abdominales chroniques, en particulier lors des rapports sexuels. Surtout, les adhérences sont la deuxième cause acquise de stérilité-infertilité féminine (39 %), pas facile à traiter ; leur cure chirurgicale (adhésiolyse) ne permet qu’un taux de grossesse de 45 % à deux ans.

The peritoneal adhesions (or post-operative) are the most common complication of abdominal surgery and especially gynecological. These fibrous cords called « brides » by surgeons, are formed from the peritoneum, three to five days after surgery. Their appearance occurs unpredictably anywhere in the belly. Forming an unexpected obstacle by nature, these adhesions can hinder or strangle unexpectedly viscera, primarily the small intestine. Every operated patient must be aware of their possible occurrence.

Risks

About 40% of occlusions and 70% occlusion of the small intestine are due to peritoneal adhesions. A neglected occlusion endangeres life for lack of prompt medical surgery. You might die.
Furthermore the risk of intestinal obstructions, adhesions complicate the work of the surgeon when an operation is necessary once more on these patients.
Less dangerous but very painful, adhesions cause embarrassements and chronic abdominal pains, especially during sexual intercourses. Especially, adhesions are the second cause of female infertility (39%), not easy to deal with; their surgical cure (adhesiolysis) allows only a pregnancy rate of 45% in two years.