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A

Aphtes

Les aphtes sont de petites plaies ou ulcérations au niveau de la bouche le plus souvent, mais pouvant siéger à d’autres endroits (parties génitales par exemple). On parle d’aphtose quand les aphtes buccaux sont multiples et évoluent par poussées fréquentes. Les aphtes de la cavité buccale sont localisés dans les zones les plus exposées aux traumatismes comme les lèvres, l’intérieur des joues, les bords de la langue… L’évolution normale d’un aphte se fait vers la guérison sans cicatrice en 7 à 10 jours.

Risques / Causes

Les aphtes représentent un motif fréquent de consultation, notamment auprès des chirurgiens-dentistes. La plupart des aphtes sont bénins et disparaissent spontanément, mais certaines formes révèlent une maladie générale qu’il convient de diagnostiquer et traiter. Ainsi, il ne faut pas conclure soi-même un peu vite au diagnostic d’aphtes ; mieux vaut consulter, surtout en présence de signes associés en dehors de la bouche (taches cutanées, fièvre, douleurs…).

La cause précise des aphtes est inconnue. De nombreuses hypothèses ont été suggérées mais jamais démontrées (bactéries, virus, carences en fer…). L’apparition d’un aphte est probablement liée à un phénomène immunitaire spontané ou induit par l’environnement, la nourriture ou encore les médicaments. Les aphtes peuvent par exemple survenir à la suite de la prise de certains médicaments comme les antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS), les antibiotiques, les antivitamines K…
Le gruyère, les fruits secs, les noix et les noisettes, les cacahuètes, les amandes sont également pourvoyeurs d’aphtes. De même, une mauvaise hygiène buccodentaire, des irritations dans la cavité buccale ou certaines circonstances (grossesse, puberté, stress, les traumatismes : brosse à dents, morsure…) favorisent les aphtes. Des maladies générales comme la maladie de Behçet se manifestent également par une aphtose, mais d’autres symptômes sont alors présents.

Canker sores are small ulcers wounds in the mouth more often, but may sit at other places (eg genital area). There is talk of aphthosis when oral ulcers are multiple and evolving by frequent relapses. Canker sores in the oral cavity are located in the areas most exposed to trauma as the lips, the cheeks, the edges of the tongue … The normal evolution of a canker sore is healing without scarring to in 7 10 days.

Risks / Causes

Canker sores are a frequent reason for consultation, particularly among dentists. Most ulcers are benign and disappear spontaneously, but some forms reveal a systemic disease should be diagnosed and treated. Thus, one should not conclude yourself a little fast diagnosis of canker sores; better consult, particularly in the presence of associated signs outside the mouth (skin spots, fever, pain …).
The precise cause of canker sores is unknown. Many hypotheses have been suggested but not proven (bacteria, viruses, iron deficiency …). The emergence of a canker sore is probably related to a spontaneous immune phenomenon or environmentally induced, food or medicine. Canker sores may for example occur as a result of taking certain medications such as anti-inflammatory non-steroidal drugs (NSAIDs), antibiotics, anticoagulants …
Gruyere, dried fruit, walnuts and hazelnuts, peanuts, almonds are also providers of canker sores. Similarly, poor oral hygiene, irritation in the oral cavity or certain circumstances (pregnancy, puberty, stress, trauma: toothbrush, bite …) promote aphthae. General diseases such as Behçet’s disease is also manifested by aphthosis, but other symptoms are then present.

Anorexie Mentale

L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire qui consiste à limiter volontairement sa nourriture par peur de prendre du poids et de grossir. Ce n’est pas une perte de l’appétit ou une diminution de la sensation de faim.
La distorsion de la perception du corps induit une spirale d’amaigrissement illimité : jusqu’à 50 % du poids normal, avec un risque mortel bien présent. Malheureusement une caractéristique de l’anorexie est le déni, qui rend très difficile la prise en charge médicale et psychologique.

Risques

Outre l’amaigrissement, l’anorexie mentale s’accompagne de complications physiques dues à la privation alimentaire : ostéoporose précoce qui débute 6 mois après le début de la perte de poids (40 % des adolescentes anorexiques), œsophagite (inflammation de l’œsophage due aux vomissements répétés), souffrance cardiaque à l’effort, retard de croissance, troubles sanguins, atteinte rénale et troubles métaboliques.

Cette pathologie met la vie en jeu lorsque l’indice de masse corporelle (IMC) est inférieur à 12 ou 13.
On estime à 10 % la mortalité : la moitié par tentatives de suicide, ce qui représente 15 à 20 % des patientes ; la moitié par cachexie (dénutrition sévère).

Dans un tiers des cas, lorsque l’anorexie est prise à temps, la guérison est possible avec une reprise de la vie normale. Dans un tiers des cas, les anorexiques présentent, outre leur trouble alimentaire, d’autres troubles comportementaux, comme les phobies, qui réclament une prise en charge spécifique.

Anorexia nervosa is an eating disorder that involves voluntarily limiting her food for fear of gaining weight and growing. This is not a loss of appetite or decreased hunger.
The distortion of body perception induces an unlimited slimming spiral up to 50% of normal weight, with a very present risk of death. Unfortunately a feature of anorexia is denial, which makes it very difficult medical and psychological care.

Risks

Besides weight loss, anorexia nervosa is accompanied by physical complications due to food deprivation: Early osteoporosis starting six months after the start of weight loss (40% of anorexic adolescents), esophagitis (inflammation of the esophagus due to repeated vomiting), heart pain on exertion, growth retardation, blood disorders, kidney damage and metabolic disorders.
This condition is life-play when the body mass index (BMI) is less than 12 or 13.
An estimated 10% mortality: half by suicide attempts, representing 15-20% of patients; half by cachexia (severe malnutrition).
In a third of cases where anorexia is caught in time, recovery is possible with a return to normal life. In a third of cases, anorexics present, besides their eating disorder, other behavioral disorders, such as phobias, which require a specific treatment.

Angine Virale

L’angine est une inflammation banale et fréquente des amygdales (on parle aussi d’amygdalite) responsable de douleurs à la déglutition. 50 à 90 % des angines sont virales. L’angine virale est provoquée par des virus, en général les mêmes que ceux du rhume ou des infections hivernales.
Les antibiotiques sont inefficaces sur le virus ; de plus, ils ne permettent pas de prévenir les surinfections bactériennes ou d’accélérer la guérison.

Risque / Causes

9 millions d’angines sont diagnostiquées chaque année en France et jusqu’à 90 % de ces angines aiguës sont d’origine virale, notamment chez l’adulte, mais aussi chez le nourrisson et l’enfant de moins de 3 ans.
Elles n’exposent pas à des complications, contrairement à l’angine à streptocoque.
8 millions d’antibiotiques sont pourtant prescrits chaque année.

Les virus en cause lors d’une angine virale sont des adénovirus,virus influenza, virus respiratoire syncytial ou virus para-influenza ; ils ont un tropisme particulier pour la sphère ORL (nez, gorge et oreille) et sont donc responsables d’angines, mais aussi de rhinopharyngites ou autres bronchites hivernales qui évoluent par épidémies.
Plus rarement, le virus d’Epstein-Barr (EBV) est en cause et provoque une mononucléose infectieuse.

Angina is a common and frequent inflammation of the tonsils (also called tonsillitis) responsible for pain on swallowing. 50-90% of sore throats are viral. Viral sore throat is caused by viruses, generally the same as the common cold or winter infections.
Antibiotics do not work on viruses; moreover, they do not help prevent bacterial infection or to accelerate healing.

Risk / Causes

9 million angina are diagnosed each year in France and up to 90% of acute tonsillitis are caused by viruses, especially in adults but also for infants and children under 3 years.
They do not expose to complications, unlike angina streptococcus.
8000000 antibiotics are prescribed each year yet.

The relevant virus upon viral angina are adenoviruses, influenza viruses, respiratory syncytial virus or parainfluenza virus; they have a particular tropism for the ENT (nose, throat and ear) and are therefore responsible for angina, but also other winter bronchitis and nasopharyngitis evolving by epidemics.
More rarely, the Epstein-Barr virus (EBV) is involved and causes infectious mononucleosis.

Angine à Streptocoque

L’angine est une inflammation banale et fréquente des amygdales (on parle aussi d’amygdalite) responsable de douleurs à la déglutition. La plupart des angines sont d’origine virale mais une origine bactérienne doit particulièrement être redoutée en raison des complications possibles : il s’agit de l’angine à streptocoque.
Les complications sont potentiellement graves, avec le rhumatisme articulaire aigu (RAA), une atteinte rénale (glomérulonéphrite aiguë) et cardiaque, mais elles sont prévenues par le traitement antibiotique.

Causes

Tout l’enjeu des angines à streptocoque est de les dépister (par un test de diagnostic rapide ou TDR) et de les traiter précocement pour éviter les complications. Le streptocoque bêta-hémolytique du groupe A (SGA), la bactérie en cause, ne représente qu’une minorité des angines. Sur les 9 millions d’angines diagnostiquées chaque année en France, 50 à 90 % des angines aiguës sont d’origine virale et seules 10 à 25 % des angines de l’adulte ont pour origine le streptocoque bêta-hémolytique.
Le pic de fréquence se situe chez l’enfant entre 5 et 15 ans.

Angina is an inflammation of the throat. is a common and frequent inflammation of the tonsils (also called tonsillitis) responsible for pain on swallowing. Most sore throats are viral but a bacterial origin must be particularly feared because of possible complications it comes to streptococcal angina.
The complications are potentially serious, with rheumatic fever (CEOS), kidney damage (acute glomerulonephritis) and heart, but they are prevented by antibiotic treatment.

Causes

The challenge streptococcal pharyngitis is to screen (by a rapid diagnostic test or TDR) and treat them early to avoid complications. Beta-hemolytic Group A Streptococcus (GAS) bacteria involved, only a minority of tonsillitis. Of the 9 million tonsillitis diagnosed in France every year, 50-90% of acute sore throats are viral origin and only 10-25% of adult sore throats are caused beta-hemolytic streptococcus.
The peak incidence is in children between 5 and 15 years.

Anévrisme de l’aorte abdominale

L’aorte est la plus grosse artère du corps humain. L’anévrisme de l’aorte abdominale (ou AAA) est une dilatation d’une partie de cette artère, due à une faiblesse de la paroi. Le risque est la rupture avec un décès quasi certain.

On distingue en fait deux types d’anévrismes : les anévrismes « vrais » avec un élargissement de l’aorte et les « faux » anévrismes représentés par une poche anévrismale (comme un sac appendu à l’aorte).

Risque / Causes

Chaque année, on découvre 200 000 nouveaux cas anévrismes de l’aorte abdominale. L’athérome est la cause principale des anévrismes de l’aorte abdominale, représentant 95 % des cas. L’anévrisme de l’aorte abdominale s’intègre donc dans le cadre des maladies cardio-vasculaires et touche principalement une population de plus de 60 ans.
D’autres causes sont plus rares comme la syphilis, les anomalies congénitales du tissu élastique (maladie de Marfan) ou les infections. Le risque est représenté par la rupture ; ce risque est estimé à près de 20 % en cas d’anévrisme d’un diamètre supérieur à 7 cm.

Hypertension artérielle (HTA) et athérome modifient la résistance de la paroi aortique : l’affaiblissement conduit à une distension lente et progressive de l’aorte.
Cette distension est inéluctable : la tension de la paroi de l’artère est en effet proportionnelle à son rayon et à la pression artérielle (loi de Laplace).
L’HTA est donc un facteur aggravant de l’anévrisme de l’aorte abdominale.

The aorta is the largest artery in the human body. The abdominal aortic aneurysm (AAA) is an expansion of a portion of the artery due to a weakness in the wall. The risk is breaking with almost certain death.
Be distinguished in two types of aneurysms: Aneurysms « true » with an enlargement of the aorta and the « false » aneurysms represented by an aneurismal sac (sac as a pendant to the aorta).

Risk / Causes

Each year, we find 200,000 new cases of abdominal aortic aneurysms. The atherosclerosis is the leading cause of aneurysms of the abdominal aorta, accounting for 95% of cases. The abdominal aortic aneurysm thus fits in the context of cardiovascular disease and primarily affects a population of more than 60 years.
Other causes are rare, such as syphilis, congenital anomalies of the elastic tissue (Marfan’s disease) or infections. The risk is represented by the fracture; this risk is estimated to be about 20% in case of aneurysm diameter greater than 7 cm.
Hypertension (HTA) and atherosclerotic change the resistance of the aortic wall: the weakening leads to a slow and gradual stretching of the aorta.
This distension is inevitable: the wall tension of the artery is in effect proportional to its radius and to the arterial pressure (Laplace’s Law).
Hypertension is an aggravating factor for abdominal aortic aneurysm.

Anémie Chimio-induite

L’anémie est définie par une baisse du nombre de globules rouges ou d’hémoglobine qui transporte l’oxygène (< 11 g/dl). L’anémie est fréquente chez les patients souffrant d’un cancer, et est liée au cancer lui-même, aux traitements et notamment à la chimiothérapie ; on parle dans ce dernier cas d’anémie chimio-induite. L’anémie chimio-induite entraîne comme toutes les anémies une fatigue intense. En cas d’anémie avérée, un traitement par érythropoïétine (EPO) ou par transfusion sanguine est envisagé.

Risques / Causes

Plus de 80 % des patients se plaignent d’asthénie ou fatigue intense. Elle est l’effet indésirable le plus fréquent de la chimiothérapie. L’anémiechimio-induite est parmi toutes les causes de fatigue chronique l’effet indésirable réversible le plus fréquent, et justifie un traitement et une écoute particulière de la part des soignants pour limiter l’impact négatif sur la qualité de vie des patients cancéreux.

L’anémie chimio-induite en cancérologie est due aux agents chimiothérapeutiques qui détruisent toutes les cellules qui se divisent rapidement dans l’organisme, qu’elles soient cancéreuses ou saines. Les globules rouges, produits dans la moelle osseuse, en font partie en raison de leur taux de renouvellement important.Par ailleurs, la chimiothérapie agit en inhibant la capacité de la moelle osseuse à produire de nouveaux globules rouges en diminuant la sécrétion rénale d’une hormone appelée érythropoïétine.Les globules rouges qui transportent l’oxygène dans l’organisme étant moins nombreux, la quantité d’oxygène acheminée est moindre et la fatigue se manifeste.

Anemia is defined by a decrease in red blood cells or hemoglobin that carries oxygen (<11 g / dl). Anemia is common in patients suffering from cancer, and is linked to cancer itself, and in particular to treatment with chemotherapy; one speaks in this case of chemotherapy-induced anemia. The chemotherapy-induced anemia causes anemia like all severe fatigue. In proven cases of anemia, an erythropoietin therapy (EPO) or via blood transfusion is considered.

Risks / Causes

Over 80% of patients complain of asthenia or severe fatigue. It is the most common side effect of chemotherapy. The anémiechimio-induced is among all chronic fatigue causes reversible adverse effects the most common, and justifies special treatment and listening on the part of caregivers to limit the negative impact on the quality of life of cancer patients.

The chemotherapy-induced anemia in cancer is due to chemotherapeutic agents that destroy all cells that divide rapidly in the body, whether healthy or cancerous. Red blood cells produced in the bone marrow, in part because of the refreshing rate important.Par Moreover, chemotherapy acts by inhibiting the ability of the bone marrow to produce new RBCs decreasing renal secretion of érythropoïétine.Les hormone called red blood cells that carry oxygen throughout the body being fewer, the amount of oxygen fed is less and fatigue occurs.

Ampoules Cutanées

Les ampoules cutanées apparaissent spontanément lorsqu’il y a frottement important et répété de l’épiderme.Les ampoules naissent d’une réaction des cellules à cette friction par cisaillement qui agit comme une brûlure : la couche superficielle de la peau se décolle jusqu’à former une cloque au sein de laquelle suinte un liquide clair, une sérosité.
L’ampoule équivaut à un deuxième degré de brûlure (caractérisé par les cloques).

Skin blisters appear spontaneously when there is significant and repeated friction of the epidermis. The bulbs arise from a reaction of the cells to shear the friction which acts as a burn : the surperficial layer of the skin peels off until forming a blister in which a clear liquid – serum – oozes.
The bulb is equivalent to a second degree burn (characterized by the blisters).

Alzheimer

La MA est une affection dégénérative du cerveau responsable d’un état de démence d’installation progressive. La démence correspond à une altération durable des fonctions intellectuelles (mémoire, attention, langage, savoirs, raisonnement, jugement, gestuelle…) et/ou comportementales (personnalité, émotions, sociabilité…), et cette altération est suffisamment sévère pour entrainer une altération de l’autonomie dans la vie quotidienne. Il existe de nombreuses causes de démence, et la MA en est la cause la plus fréquente (plus de 50% des cas de démence diagnostiqué).En pratique la MA est due à une accumulation anormale de plusieurs protéines au niveau de certaines zones du cerveau en particulier les zones responsables de la mémoire (que l’on appelle les hippocampes). Ce stockage anormal abouti à terme à la mort prématurée des neurones de ces régions cérébrales et donc à leur dysfonctionnement progressif. La MA n’est donc pas une forme de vieillissement normal du cerveau, il s’agit d’une maladie à part entière.

Facteurs de risques

Le principal facteur de risque de développer une maladie d’Alzheimer estl’âge.
Les autres facteurs de risques sont moindres. On retrouve des facteurs de risque en rapport avec l’environnement ou liés au mode de vie (tabac, alimentation trop riche, isolement social, faible niveau d’étude) mais également des facteurs de risque génétiques (ce qui est rare mais particulièrement vrai pour les formes très précoces de MA, avec un début de la maladie avant 60 ans)

AD is a degenerative disorder of the brain responsible for a state of gradual dementia onset. Dementia is a lasting deterioration of intellectual functions (memory, attention, language, knowledge, reasoning, judgment, gestures …) and/or behavioral (personality, emotions, sociability …) and this impairment is severe enough to cause impairment of autonomy in daily life. There are many causes of dementia, and AD is the most common cause (more than 50% of diagnosed cases of dementia). In practice, AD is due to an abnormal accumulation of several proteins at certain areas of the brain particularly the areas responsible for memory (called seahorses). This abnormal storage term resulted in premature death of the neurons in these brain regions and thus to their progressive dysfunction. The MA is not a form of normal brain aging, it is a wholly disease.

Risk Factors

The main risk factor for developing Alzheimer’s disease estl’âge.
Other risk factors are lower. We find the risk factors related to the environment or related to lifestyle (smoking, diet too rich, social isolation, low level of education) but also genetic risk factors (this is particularly true for rare but very early forms of AD, with onset of the disease prior to age 60)

Allergies

L’allergie se définit par une réponse immunologique de l’organisme, inadaptée et exagérée vis-à-vis de certaines substances étrangères : les allergènes. L’allergie se manifeste ainsi au contact des pollens, acariens, poils d’animaux mais aussi de certains aliments ou médicaments. L’environnement comporte de nombreux allergènes auxquels le patient allergique peut réagir.
Les allergies peuvent affecter les yeux, la peau, les voies respiratoires comme le nez ou les bronches.

Causes

L’allergie nécessite plusieurs étapes pour pouvoir se manifester. La première étape est une étape dite de sensibilisation, première rencontre avec l’allergène. Ce n’est qu’à partir du second contact minimum que la réaction allergique apparaît en libérant une substance, l’histamine, responsable des symptômes. L’action de l’histamine peut être bloquée par des médicaments spécifiques appelés «antihistaminiques ».L’allergie n’a pas de caractère héréditaire, mais un terrain allergique (ou atopique) la favorise : des enfants de parents allergiques présentent plus de risques d’avoir aussi une sensibilité allergique.

Allergy is defined as an inappropriate and excessive immunological response of the body against some foreign substances : the allergens. The allergy manifests thus in contact with pollen, mites, pet hair, but also to certain foods or drugs. The environment contains many allergens to which the allergic patient can react.
Allergies can affect the eyes, skin, respiratory system like the nose or bronchi.

Causes

Allergy requires several steps in order to manifest. The first step is a step called awareness, first meeting with the allergen. It is only at the second minimum contact that the allergic reaction occurs, releasing a substance named histamine, responsible for the symptoms. The action of histamine could be blocked by specific drugs called « antihistamines ». The allergy is not hereditary, but an allergic (or atopic) plot promotes it : Children of allergic parents present greater risks to also have an allergic sensitivity.

Adhérences péritonéales

Les adhérences péritonéales (ou post-opératoires) sont la complication la plus fréquente de la chirurgie abdominale et surtout gynécologique. Ces cordages fibreux, appelés « brides » par les chirurgiens, se forment à partir du péritoine, trois à cinq jours après l’intervention chirurgicale. Leur apparition se fait de manière imprévisible n’importe où dans le ventre. Formant un obstacle imprévu par la nature, ces adhérences peuvent gêner ou étrangler inopinément les viscères, principalement l’intestin grêle. Tout patient opéré doit être informé de leur possible survenue

Risques

Environ 40 % des occlusions et 70 % des occlusions de l’intestin grêle sont dues à des adhérences péritonéales. Une occlusion négligée met la vie en péril faute d’une intervention médico-chirurgicale rapide. On peut en mourir.
Outre les risques d’occlusions intestinales, les adhérences compliquent le travail du chirurgien lorsqu’il faut réintervenir chez ces patients.
Moins périlleuses mais très pénibles, les adhérences provoquent des gènes et des douleurs abdominales chroniques, en particulier lors des rapports sexuels. Surtout, les adhérences sont la deuxième cause acquise de stérilité-infertilité féminine (39 %), pas facile à traiter ; leur cure chirurgicale (adhésiolyse) ne permet qu’un taux de grossesse de 45 % à deux ans.

The peritoneal adhesions (or post-operative) are the most common complication of abdominal surgery and especially gynecological. These fibrous cords called « brides » by surgeons, are formed from the peritoneum, three to five days after surgery. Their appearance occurs unpredictably anywhere in the belly. Forming an unexpected obstacle by nature, these adhesions can hinder or strangle unexpectedly viscera, primarily the small intestine. Every operated patient must be aware of their possible occurrence.

Risks

About 40% of occlusions and 70% occlusion of the small intestine are due to peritoneal adhesions. A neglected occlusion endangeres life for lack of prompt medical surgery. You might die.
Furthermore the risk of intestinal obstructions, adhesions complicate the work of the surgeon when an operation is necessary once more on these patients.
Less dangerous but very painful, adhesions cause embarrassements and chronic abdominal pains, especially during sexual intercourses. Especially, adhesions are the second cause of female infertility (39%), not easy to deal with; their surgical cure (adhesiolysis) allows only a pregnancy rate of 45% in two years.