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Les Maladies

Les maladies ou les problèmes de santé sont tous causés par une obstruction d’un genre ou d’un autre.

Si un vaisseau sanguin est bloqué et ne peut plus garantir une prompte livraison d’oxygène ou d’éléments nutritifs vitaux à un groupe de cellule, celles-ci, afin de survivre, devront prendre des mesures d’urgence. Beaucoup de cellules ne survivront pas à cette « famine » et mourront. Cependant, d’autres cellules plus résistantes apprendront à s’ajuster à cette situation défavorable (mutation cellulaire) et à tirer leur énergie de déchets métaboliques.

La mutation cellulaire n’est qu’une ultime tentative de survie du corps afin d’empêcher sa fin immédiate, causée par une crise septique ou l’effondrement d’un organe.

Bien qu’en réalité, cette réaction empêche un effondrement immédiat du corps dû à l’accumulation de matières toxiques et de déchets cellulaires, ce sont les prémices du « cancer » ou de maladie « auto-immune ».

Les tumeurs cancéreuses résultent d’une grave congestion des tissus conjonctifs, des parois des vaisseaux sanguins et des conduits lymphatiques, ce qui empêche les cellules de recevoir assez d’oxygène et d’autres éléments nutritifs vitaux.

Ces obstruction dans le corps sont directement et indirectement liées à un fonctionnement réduit du foie – en particulier, à des impasses causées par des calculs biliaires dans le foie et dans la vésicule biliaire. La présence de gros morceaux de bile durcie dans ces organes interfère fortement avec les processus vitaux de la congestion, de l’élimination des déchets et de la désintoxication de substances nuisibles dans le sang.

Presque chaque malade souffrant d’une maladie chronique a un nombre excessif des calculs biliaires dans le foie.

La plupart des calculs biliaires du foie sont constitué de bile, de cholestérol, l’ingrédient principal. Ceux-ci sont pratiquement « invisibles » aux rayons-X et aux technologies d’ultrasons.

En revanche, près de 20% des calculs biliaires de la vésicule biliaire sont entièrement composés de minéraux, de sels de calcium et de pigments biliaires. Les méthodes diagnostiques peut facilement détecter les grands calculs durcis mais ont tendance à ne pas déceler les calculs mous et non calcifiés dans le foie. Ce n’est que quand il y a une quantité excessive de calculs (composés à 95% de cholestérol) bloquant les conduits biliaires du foie, que les ultrasons révèlent ce que l’ont appelle un foie cirrhosé. Les images d’ultrasons montrent alors un foie qui est presque complètement blanc, au lieu d’être noir. Une foie cirrhosé, peut s’amasser jusqu’à 20 000 calculs, dits « calculs intrahépatiques » avant de succomber à l’asphyxie et cesser de fonctionner.

Comment un flux de bile entravé peut causer des maladies aussi complexes qu’une crise cardiaque, le diabète et le cancer ?

Un déséquilibre de l' »homéostasie » (l’équilibre des fonctions du corps) engendre une concentration élevée d’hormones endocrines, d’oestrogène et d’aldostérone dans le sang. Ces hormones sont responsables de la rétention de sel et d’eau. Si des calculs bouchent la vésicule biliaire et les conduits biliaires du foie, ces hormones ne peuvent pas être transformées et suffisamment désintoxiquées. Leur concentration dans le sang atteint des niveaux anormaux, causant des gonflements dans le tissu conjonctif et de la rétention d’eau.

La rétention d’eau (avec une légère accumulation de graisse) est retenue dans les tissus conjonctifs, aidant à stocker et neutraliser les substances nocives que le foie n’est plus capable d’éliminer du corps, permettant aux personnes en « surpoids » de survivre à une crise de toxicité. La rétention d’eau a cependant comme conséquence l’accumulation de déchets nuisibles (déchets métaboliques et cellules mortes) dans diverses parties du corps et commencent les systèmes de circulation et d’élimination. Une fois que la capacité de stockage de toxiques et de déchets épuisée, les symptômes de maladie commencent à apparaître.

Un cancer du foie ne se développe qu’après un grand nombre d’années d’occlusion progressive des conduits biliaires du foie. Ceci s’applique également aux tumeurs du foie qui sont des métastases de tumeurs primaires du tube digestif, des poumons ou du sein.

Infection

Une « infection » est un phénomène normal que l’on retrouve partout dans la nature quand il y a quelque chose qui a besoin d’être décomposé. Les bactéries n’attaquent jamais, c’est à dire, n’infectent jamais quelque chose de propre, de vital et de sain. Quand les bactéries décomposent de la nourriture ou de la chair, elles produisent des toxines acides et à l’odeur désagréable. Si ces bactéries décomposent des aliments non digérés dans les intestins, les toxines qui en résultent mènent à la maladie.

Un foie et un système immunitaire en bonne santé sont parfaitement capables de détruire les virus. Nous avons en permanence la plupart des virus existants dans notre corps. Cependant, une grande quantité de calculs biliaires rend le foie toxique, fertile pour l’activité virale.

Les antibiotiques

Les antibiotiques détruisent la flore gastrique, y compris les bactéries qui aident normalement à fragmenter et éliminer les cellules endommagées. Bien que la prise d’antibiotiques ait pour résultat un soulagement rapide des symptômes, elle cause également des dommages permanents dans le fonctionnement de l’estomac.

Maladies de Bouche

Les calculs biliaires dans le foie et dans la vésicule biliaire interfèrent avec la digestion et l’absorption de la nourriture, avec la stagnation des déchets dans les intestins. Ces déchets y créent un environnement anaérobique acide, idéal à la prolifération de bactéries et parasites nocifs. Les infections bactériennes (le muguet et les infections virales (l’herpès) dans la bouche ne se manifestent que lorsque les intestins accumulent des quantités considérables de résidus non digérés. Les bactéries essaient de décomposer une partie de ces déchets, tout en produisant des toxines. Certaines de ces toxines sont ensuite absorbées dans le sang et la lymphe, qui les transportent dans le foie. Les toxines restantes stagnent dans les intestins où elles deviennent une source constante d’irritation pour les parois intestinales. A la longue, les parois intestinales deviennent enflammées et des lésions ulcéreuses apparaissent. Le tissu intestinal endommagé commence à « inviter » de plus en plus de microbes vers la blessure pour aider à détruire et à éliminer toutes les cellules faibles et endommagées.

  • Le muguet indique la présence de grandes quantités de bactéries à travers tout le système gastro-intestinal, y compris la bouche (dont le revêtement muqueux n’est pas aussi résistant que celui du tube digestif). La source du muguet se situe dans les intestins (candidose). La source de la plus grande partie du système immunitaire du corps humain est localisée dans le revêtement muqueux des intestins, dont l’affaiblissement produit le muguet.
  • Le virus herpès, à la différence des bactéries qui attaquent l’extérieur de la cellule, attaquent l’intérieur de la cellule (le noyau). Les « agresseurs » (virus comme bactéries) ont uniquement pour cible les cellules faibles, en mauvaise santé, celles endommagées ou ne fonctionnant plus convenablement, susceptibles de muter en cellules cancéreuses.
  • Un ulcère de la bouche au niveau de la lèvre inférieure indique une inflammation similaire dans le grand intestin. Des ulcères répétés dans l’un des 2 coins de la bouche indiquent la présence d’ulcères duodénaux. Les ulcères de la langue, en fonction de leur emplacement, indiquent des inflammations dans le tube digestif (estomac, intestin grêle, appendice, gros intestin).

Les calculs biliaires peuvent mener à d’autres problèmes dans la bouche, empêchant la sécrétion correcte de bile, réduisant l’appétit et la sécrétion de salive dans les glandes salivaires. La salive nettoie la bouche, garde les muqueuses molles et flexibles. S’il n’y en a pas assez, des bactéries destructrices commencent à envahir la bouche, baignant dans un environnement acidifié et toxique. Cela peut mener à des caries et d’autres problèmes dentaires.

Maladies de l’Estomac

Les calculs biliaires et les problèmes de digestion qui en résultent, peuvent mener à la régurgitation d’acide et de sels biliaires dans l’estomac. Ceci modifie la composition des jus gastriques et la quantité de mucus produits dans l’estomac. La fonction du mucus est de protéger les parois de l’estomac des effets destructeurs de l’acide hydrochlorique. Si cette couche protectrice n’est pas assez épaisse, le résultat est une gastrite, sous forme aiguë ou chronique. Les cellules de la surface de l’estomac (l’épithélium), exposées au suc gastrique acide, absorbent des ions d’hydrogène. Ceci augmente leur acidité interne, empêche les processus métaboliques fondamentaux et cause des réactions inflammatoires : ulcération de la muqueuse (ulcère digestif ou gastrique), saignements, perforation de la paroi de l’estomac, péritonite (perforation de l’estomac ou de l’intestin par un ulcère, dont le contenu se déverse dans la cavité péritonéale.

Les ulcères duodénaux se développent quand l’acidité provenant de l’estomac érode le revêtement du duodénum, du fait d’une digestion nécessitant une grande quantité d’acide ou une combinaison malheureuse d’aliments.

Un reflux gastro-oesophagien ou « brûlure d’estomac » est dû à une incontinence du sphincter inférieur de l’estomac, par la remontée dans l’oesophage de l’acide gastrique. Les brûlures d’estomac résultent souvent d’une production insuffisante d’acide chlorhydrique, ce qui force la nourriture à rester plus longtemps dans l’estomac que la normale afin de pouvoir être digérée.

Les causes peuvent être : consommation excessive de nourriture, d’alcool, de tabac, consommation quotidienne de café, de boissons gazéifiées, alimentation riche en protéines, graisses animales, électrosmog, drogues, aspirine, médicaments anti-inflammatoires, intoxication alimentaire, aliments très épicés, boissons glacées, déshydratation, stress…

Tous ces facteurs contribuant également à la formation de calculs biliaires dans le foie et la vésicule biliaire, causent encore plus de troubles dans le système gastro-intestinal. Des tumeurs malignes de l’estomac peuvent en résulter.

Maladies du Pancréas

Le pancréas, en plus de la sécrétion d’insuline, d’hormones et de glycagon, produit le suc pancréatique contenant des enzymes qui digèrent les hydrates de carbone, les protéines et les graisses. Lorsque le contenu acide de l’estomac se déverse dans le duodénum, ces enzymes se combinent avec le suc pancréatique (alcalin) et la bile (alcalin) pour maintenir l’équilibre acido-basique. La production insuffisante de bile (due aux calculs) entrave le processus digestif, en particulier des lipides. le faible pH duodénal empêche l’action des enzymes pancréatiques et duodénaux, induisant une digestion partielle d’aliments encore saturés d’acide chlorhydrique et engendre des effets irritants et toxiques sur tout le système gastro-intestinal.

Lorsqu’un calcul biliaire se déplace de la vésicule biliaire vers l’ampoule de Vater, le suc gastrique ne peut plus se déverser, refluant la bile dans le pancréas. La bile, bloquée dans le pancréas, commence à digérer le tissu pancréatique, menant à des infections, des suppurations, thromboses locales ou pancréatite. Les calculs biliaires, encombrant l’ampoule pouvant contenir des bactéries, virus et toxines, sont relâchés dans le pancréas, causant plus de dommages, des tumeurs malignes (à la tête du pancréas).

Les calculs biliaires dans le foie, la vésicule biliaire ou ampoule de Vater peuvent aussi être responsables des 2 types de diabètes – insulino dépendant ou non dépendant.

Maladies du Foie

Des calculs biliaires encombrant les canaux évacuant la bile, empoisonne le foie, le rendant malade, empêchent la dégradation des médicaments, causant une « overdose » et des effets secondaires dévastateurs. Le foie risque également de subir des dommages provenant des résidus médicamenteux qu’il ne parvient pas à neutraliser, ainsi que ceux provenant de l’alcool.

A l’origine de toute maladie du foie, il y a une obstruction des canaux biliaires par des calculs. Les calculs biliaires déforment la structure des lobules hépatiques. La difficile circulation du sang à travers les lobules, la faible production de bile, l’asphyxie causée par les calculs, endommagent les cellules du foie, remplacées graduellement du tissu fibreux, aggravant progressivement la situation. Une affaiblissement du foie mène à la somnolence, la confusion, le tremblement des mains, l’hypoglycémie, des infections, échec rénal, rétention d’eau, saignements continus, coma…

Une hépatite aiguë résulte de la nécrose de groupes entiers de cellules du foie. Les calculs biliaires contenant des virus, infectent les cellules du foie et causent des changements dégénératifs.

Un cancer du foie ne se développe qu’après un grand nombre d’années d’occlusion progressive des conduits biliaires du foie. Ceci s’applique également aux tumeurs du foie qui sont des métastases de tumeurs primaires du tube digestif, des poumons ou du sein.

Une grande quantité de virus contenue dans les calculs biliaires, se libérant dans le sang, provoquent l’hépatite chronique. Les infections du foie non-virales peuvent être déclenchées par des bactéries qui prolifèrent à partir d’un canal biliaire encombré de calculs biliaires.

Les calculs dans les voies biliaires altèrent le foie à neutraliser des substances telles que la chloroforme, les médicaments cytoxiques, les stéroïdes anabolisants, l’alcool, l’aspirine, les champignons, les additifs alimentaires…. Dans ce cas, le cors développe une hypersensibilité à ces substances toxiques mais aussi d’autres réactions imprévisibles à de nombreuses autres substances. Beaucoup d’allergies sont la conséquence de telles hypersensibilités.

La forme la plus commune de la jaunisse résulte de calculs biliaires coincés dans la voie biliaire menant au duodénum et/ou de calculs biliaires et de tissu fibreux déformant la structure des lobules du foie. Le blocage des canaux sature le sang en bile et bilirubine (coloration jaune de la peau) et provoque la conjonctive des yeux. La bilirubine a un effet toxique sur les cellules du cerveau. Une tumeur dans la tête du pancréas, causée par une congestion du canal biliaire, peut être une cause de jaunisse.

Maladies de la Vésicule biliaire et des voies biliaires

La bile du foie passe par la vésicule biliaire (poche d’~50 ml en forme de poire sous le foie) pour s’écouler par le canal hépatique commun (3,8 cm de long), puis le canal cystique, relié à la vésicule biliaire par le canal cholédoque.

Dans la vésicule biliaire, la plupart des sels – excepté les sels biliaires – et l’eau contenus dans la bile sont réabsorbés, avec une concentration x 10. Le mucus de la bile y est transformé en une substance visqueuse et épaisse, devenant un agent digestif efficace hautement concentré.

Les parois de la vésicule biliaire se contractent et éjectent de la bile quand des aliments acides et des particules de protéine entrent dans le duodénum par l’estomac et de manière accentuée, en présence de teneur élevée en grasses. Les graisses émulsionnées par les sels biliaires sont absorbées par l’intestin grêle jusqu’à la section finale (l’iléon), tandis que les sels biliaires sont ramenés au foie, puis au duodénum, puis à la vésicule biliaire.

Une congestion intestinale réduit la quantité des sels biliaires nécessaires à une production suffisante de bile et à la digestion des graisses. La concentration diminuée des sels biliaires dans la bile est une des causes des calcul biliaires, laissant de grandes quantités de graisses non digérées dans les intestins.

Les calculs biliaires se composent principalement de cholestérol, de calcium ou de pigments tels que la bilirubine mais également de sels biliaires, de mucus, de toxines, de bactéries et parfois de parasites morts. Les calculs dans la vésicule biliaire grandissent lentement pendant ~8 ans avant que des symptômes deviennent perceptibles, pouvant atteindre de 2 à 6 cm.

Quand un calcul biliaire reste coincé dans le canal cystique ou hépatique commun, des contractions spasmodiques fortes apparaissent dans la paroi, afin de le faire avancer. Une vésicule biliaire encombrée se contracte pour évacuer ses calculs biliaires. Une cholécystite résulte de l’inflammation du revêtement intérieur de la vésicule biliaire, des canaux cystique et cholédoque. Des ulcérations des tissus peuvent se produire, avec la formation de fistules et d’adhérences fibreuses.

Quand des calculs biliaires dans les voies biliaires du foie et des accumulations de tissu fibreux déforment la structure des lobules hépatiques, la tension veineuse augmente dans la veine porte, causant la tension de la veine cystique, drainant le sang veineux.

Maladies Intestinales

L’intestin grêle (long de 5-6m) est abouché à l’estomac par le sphincter du pilori et mène au gros intestin (long de1,5m). L’intestin grêle sécrète le suc intestinal qui complète la digestion des hydrates de carbone, des protéines et des lipides. Il absorbe les éléments nutritifs nécessaires pour nourrir le corps, le protéger contre les infections causées par les microbes qui ont survécu à l’action anti-microbienne de l’acide chlorhydrique de l’estomac.

Des calculs biliaires réduisent la sécrétion de la bile, ce qui réduit la capacité des enzymes pancréatiques à digérer les hydrates de carbones, les protéines et les graisses. Cela empêche l’intestin grêle d’absorber convenablement les composants nutritifs des monosaccharides des hydrates de carbone, des acides aminés des protéines, les acides gras et le glycérol des lipides. Cela amène à une sous-alimentation et à un désir insatiable de nourriture.

La faible quantité bile indispensable aux intestins pour absorber les lipides, le calcium, la vitamine K, peut provoquer des maladies du coeur, l’ostéoporose et le cancer.

  • L’insuffisance de vitamine K, indispensable au foie pour produire les substances responsables de la coagulation du sang, peut provoquer la maladie hémorragique.
  • L’insuffisance de calcium a des répercutions sur le durcissement des os et des dents, la coagulation du sang, le mécanisme de contractions musculaires.
  • L’absorption insuffisante des lipides empêche l’absorption de la vitamine A et le carotène par les intestins
  • L’insuffisance de vitamine A endommage les cellules épithéliales, parties essentielles de tous les organes, des vaisseaux sanguins, des vaisseaux lymphatiques…, affecte la bonne santé des yeux et la résistance aux infections microbiennes
  • idem pour la vitamine D

L’absorption insuffisante par les intestins des vitamines contenues dans les aliments affecte les systèmes circulatoires, lymphatiques et urinaires.

La fermentation et la putréfaction des aliments partiellement digérés dans les intestins attirent un grand nombre de bactéries pour accélérer le processus de décomposition. Les résidus toxiques de ce processus ainsi que les excrétions des bactéries irrite le revêtement muqueux des intestins, réprésentant 60% de notre système immunitaire.

Surchargés par une invasion constante de toxines, les intestins peuvent souffrir de diarrhée, de constipation, de gonflements, de la maladie de Crohn, de colite ulcéreuse, de diverticulose, d’hernies, de polypes, de dysenterie, d’appendicite, de vulvite, voire développer des tumeurs bénignes et malignes.

Les désordres du système circulatoire
Maladie coronarienne

Dans des conditions normales de fonctionnement, le foie désintoxique et purifie le sang veineux qui arrive par la veine porte en provenance de la partie abdominale du système digestif, de la rate et du pancréas. Il transforme l’alcool, neutralise les substances nocives (toxines produites par les microbes), tue les bactéries et les parasites, neutralise certains composants des médicaments.

  • Le foie retire l’azote des acides aminés (non nécessaire à la formation de nouvelles protéines), formant des déchets azotés issus de la destruction des protéines – ou urée – qui vont circuler dans la circulation sanguine et être excrétés dans l’urine.
  • De la fragmentation de la nucléoprotéine (noyau) des cellules usées du corps résulte l’acide urique, excrétée également avec l’urine
  • Le foie filtre + d’1l de sang par minute et ne rejette que le gaz carbonique acide, éliminé par les poumons

Purifié par le foie, le sang passe par la veine hépatique dans la veine cave inférieure et se dirige directement dans le coté droit du coeur. Le sang veineux est amené aux poumons où s’effectue l’échange gazeux (gaz carbonique contre oxygène) pour revenir au coeur par le côté gauche. Pompé dans l’aorte, le sang oxygéné approvisionne tous les tissus du corps.

La digestion insuffisante des protéines des cellules mortes (~30 milliards par jour) et des protéines des aliments par le foie, augmente la concentration des protéines dans le sang, dont une partie est emmagasinée dans les membranes basales des parois des vaisseaux sanguins. Le surplus restent piégé dans les vaisseaux sanguins, augmentant anormalement le nombre de globules rouges (hématocrite) par unité de volume de sang. La concentration d’hémoglobine dans le sang engendre rougeurs de la peau (visage, poitrine). Leur gonflement passe difficilement par les petits vaisseaux du réseau capillaire, l’épaississement du sang coulant lentement augmente sa coagulation, la formation de caillots avec le risque de crise cardiaque ou d’apoplexie, d’hypertension et des maladies cardiaques. Cela freine également l’approvisionnement des cellules en éléments nutritifs importants, comme l’eau, le glucose et l’oxygène et empêche l’élimination complète des résidus métaboliques.

L’hypertension contrecarre jusqu’à un certain point les effets de l’épaississement du sang. Il permet ainsi au sang riche en éléments nutritifs de circuler dans le corps malgré les encombrements. Cette réaction de survie met sous pression permanente les vaisseaux sanguins. Les protéines stockées dans les parois des vaisseaux sanguins forment une couche hermétique, empêchant l’absorption suffisante d’oxygène, de glucose, d’autres éléments nutritifs essentiels aux cellules par ces parois. Le résultat peut être une faiblesse musculaire, un fonctionnement insuffisant du coeur et toute maladie dégénérative, y compris le diabète, la fibromyalgie, l’arthrite et le cancer.

Ce stockage de surplus de protéines peut s’étendre des parois des capillaires aux membranes basales des artères, devenant rugueuses, épaisses menant à des fissures, blessures et lésions. Si un caillot de sang et/ou des fragments de athérosclérotiques se détachent, le coeur peut être atteint et causer un infarctus du myocarde ou une crise cardiaque ou le cerveau par une crise d’apoplexie… Ces blessures sont colmatées par des plaques d’atinérome (comprenant du lipoprotéine 5 (LP5) et du cholestérol), causant l’athérosclérose (d’où l’angioplastie ou greffe) qui entrave le flux sanguin cardiaque.

Taux de cholestérol élevé

Le cholestérol, composante importante de chaque cellule et élément essentiel du métabolisme, contribue à la production du tissu nerveux, de la bile et des hormones. En fonction de ses besoins, le corps produit 1/2 à 1g de cholestérol par jour, jusqu’à 400 fois plus de cholestérol par jour chez l’adulte, qu’il n’obtiendrait en mangeant 100 gramme de beurre – synthèse ayant lieu dans le foie et dans l’intestin grêle.

Le cholestérol relâché dans la circulation sanguine, s’associe aux protéines contenues dans le sang ou lipoprotéines, chargés du transport du cholestérol : les lipoprotéines de basse densité (LDL), les lipoprotéines de très basse densité (VLDL) et les lipoprotéines de haute densité (HDL) – dit le « bon » cholestérol traversant facilement les parois des vaisseaux sanguins. Les LDL et VLDL sont ramenés au foie via des vaisseaux sanguins – de structure sinusoïde, qui reconstitue le cholestérol et l’excrète avec la bile dans les intestins. Dans les intestins, le cholestérol se combine avec les lipides, est absorbé par la lymphe et entre dans le sang.

Des calculs biliaires dans les voies biliaires du foie empêchent la sécrétion de bile et bloquent partiellement ou même complètement les voies d’issue du cholestérol. La pression qui résulte du reflux dans les cellules du foie, fait diminuer fortement la production de bile et l’excrétion du cholestérol VLDL et LDL avec la bile. Les dépôts de protéines excédentaires bouchent la structure des vaisseaux sanguins, ce qui augmentent la concentration de cholestérol dans le sang – d’où les maladies cardiaques.

Cette obstruction du foie, empêchant la réception les quantités de LDL et VLDL nécessaires au foie, incite le foie à augmenter la production de cholestérol, élevant le taux de cholestérol. Les artères stockent le « mauvais cholestérol » et deviennent rigides et dures.

La maladie coronaire de coeur, qu’elle soit causée par les cigarettes, par des quantités excessives d’alcool ou des excès alimentaires, surtout de protéines, ou n’importe quel autre facteur, se développe dans des conditions de blocage des voies biliaires du foie.

Mauvaise circulation, agrandissement du coeur et de la rate, varices, congestion lymphatique, déséquilibres hormonaux

Le flux limité de sang dans la veine porte hépatique cause une congestion, particulièrement dans la rate, l’estomac, la partie distale de l’oesophage, le pancréas, la vésicule biliaire et les intestins. Ceci peut mener à un agrandissement de ces organes, réduire leur capacité à éliminer les déchets cellulaires et obstruer leurs veines respectives.

Une varice est une veine dilatée, que les valvuves ne se ferment plus suffisamment pour empêcher le sang de recouler en arrière. La pression dans les veines à la jointure du rectum et de l’anus dans le gros intestin mène au développement d’hémorroïdes. La dilatation de veines et de veinules indique systématiquement une obstruction du flux sanguin.

Un mauvais flux sanguin dans le foie impacte le coeur. Lorsque les organes du système digestif sont affaiblis par une augmentation de la pression veineuse, ils deviennent congestionnés et des déchets nuisibles commencent à s’y accumuler, y compris des débris cellulaires. La rate s’agrandit car elle prend en charge la tâche supplémentaire d’éliminer les cellules endommagées ou usées. Ceci ralentit encore plus la circulation du sang dans les organes du système digestif, ce qui stresse le coeur, augmente la tension et blesse les vaisseaux sanguins. Presque tout les types de maladies cardiaques ont une chose commun : une obstruction du flux sanguin.

Le système lymphatique, étroitement lié au système immunitaire, aide à nettoyer le corps des déchets métaboliques nuisibles, des corps étrangers et des débris cellulaires. Toutes les cellules relâchent des déchets métaboliques dans le liquide interstitiel, appelé aussi le tissu conjonctif. Ces déchets, s’accumulant dans les tissus conjonctifs, s’éliminent et sont désintoxiqués dans le système lymphatique. Les substances potentiellement nuisibles sont filtrées et neutralisées par les ganglions lymphatiques, localisés de façon stratégique à travers le corps. Une des fonctions clés du système lymphatique est d’éliminer les substances toxiques du liquide interstitiel.

Une mauvaise circulation sanguine provoque une saturation de déchets nuisibles dans le tissu interstitiel, dans les vaisseaux et les ganglions lymphatiques. Quand le drainage lymphatique est ralenti, le thymus, les amygdales et la rate commencent à se détériorer rapidement. Ces organes forment une partie importante du système de purification et d’immunité du corps.

Lors d’un flux limité de bile dans le foie et dans la vésicule biliaire, l’intestin grêle ne peut plus digérer la nourriture convenablement. Ceci met des quantités substantielles de déchets et de substances toxiques (cadavérines, putrescines – produits de la putréfaction d’aliments), qui s’infiltrent, avec les graisses et les protéines, dans les conduits lymphatiques puis dans le plus grand vaisseau lymphatique du corps – la canal thoracique au niveau de la citerne de Péquet.

Les toxines, les antigènes et les protéines d’origine animale non digérées, telles que le poisson, la viande, les oeufs et les produits laitiers mènent ces sacs de lymphe à grossir et s’enflammer. Surchargée et bouchée, la citerne de Péquet (sacs de lymphe) ne permet pas au système lymphatique d’éliminer suffisamment les protéines dégénérées (cellules usées) – oedème lymphatique (noeuds durs). 80% du système lymphatique est associé avec les intestins. Un blocage de conduit lymphatique  enflamment les ganglions lymphatiques, qui ne neutralisent plus ou ne désintoxiquent plus  les phagocytes morts, vivants, les microbes, les cellules usées, endommagées, les produits de fermentation, les pesticides, les particules chimiques, les cellules de tumeurs malignes, les millions de cellules cancéreuses… Cette inflammation provoque le gonflement de l’abdomen, des mains, des bras, des pieds ou chevilles, de boursouflures dans le visage et sous les yeux – rétention d’eau (ou précurseur principal de maladies chroniques). Chaque maladie chronique résulte d’une congestion de la citerne de Péquet – dû à des blocages, surchargé par l’afflux constant de matériel toxique, et du canal thoracique, se transformant en véritable « canal d’égout ».

L’accumulation des déchets métaboliques, due à la congestion lymphatique chronique et localisée, conduit à : obésité, kystes (utérus, ovaires), hypertrophie de la prostate, rhumatisme des articulations, agrandissement de la moitié gauche du coeur, échec cardiaque congestif, congestion des bronches et poumons, épaissement du cou, raideur dans le cou et les épaules, maux de reins, migraines, vertige, acouphène, otites, surdité, pellicules, grippe, sinusite, rhume des foins, asthme, agrandissement de la thyroïde, maladies des yeux, mauvaise vision, gonflements dans les seins, problèmes de reins, maux de dos, gonflements dans les jambes et les chevilles, scoliose, troubles du cerveau, perte de mémoire, problèmes d’estomac, agrandissement de la rate, syndrome du côlon irritable, hernies, polypes dans le gros intestins…

Quand le canal thoracique vide son contenu de déchets désintoxiqués dans la veine sous-clavière gauche et amènent les déchets toxiques directement vers le coeur et dans les artères, la totalité du système sanguin et à tous les autres parties du corps. Un lymphome (cancer de la lymphe), dont la maladie de « Hodgkin » est le résultat d’obstruction lymphatique.

Le dysfonctionnement du système circulatoire, à cause des calculs biliaires dans le foie, impacte la production des glandes endocrines, qui influencent l’activité physique, la croissance et l’alimentation. La congestion des glandes endocrines (thyroïde, parathyroïde, cortex surrénal, ovaires, testicules) due au dysfonctionnement circulatoire, mène à une sécrétion d’hormones déséquilibrées dans les îlots de « Langerhans », dans les pancréas, dans les glandes pinéales et pituitaires.

L’épaississement du sang (congestion sanguine) empêche les hormones d’atteindre leurs cibles dans le corps en quantités suffisantes, ce qui provoque une hyper-sécrétion (surproduction) d’hormones dans les glandes endocrines. Quand le drainage lymphatique des glandes est inefficace, les glandes souffrent de congestion, ce qui mène une hypo-sécrétion (manque d’hormones). Le déséquilibre des glandes thyroïdiennes provoque le goître, la maladie de Basedow, le myxoedème, les tumeurs de la thyroïde, l’hypothyroïdie, réduit l’absorption de calcium, cause des cataractes, des troubles comportementaux… La mauvaise absorption de calcium est responsable de l’ostéoporose (perte de densité des os). Les problèmes circulatoires interrompent la sécrétion de quantités suffisantes d’insuline dans les îlots pancréatiques de « langer-hans », d’où le diabète.

La production réduite de protéines incite les glandes surrénales à une surproduction de cortisol dans le sang, stimulant la synthèse de protéine, qui mène à l’atrophie du tissu lymphoïde et à une réponse immunitaire réduite – cause principale du cancer et de maladies graves.

Le foie contrôle certaines hormones, telles que l’insuline, le glucagon, le cortisol, l’aldostérone, les hormones thyroïdiennes et sexuelles. Les calculs biliaires dans le foie altèrent cette fonction vitale, ce qui peut avoir comme résultat une augmentation de la concentration d’hormones dans le sang.

Troubles du système respiratoire

Les calculs biliaires dans le foie peuvent altérer les fonctions respiratoires et causer des allergies, des troubles du nez et des cavités nasales et des maladies bronchiales et pulmonaires. Quand des calculs biliaires déforment ou blessent les lobules du foie, la capacité de nettoyage du sang du foie, de l’intestin grêle, du système lymphatique et du système immunitaire diminue. Les déchets et les substances toxiques – rendus inoffensifs par les organes et ses systèmes dans des conditions normales de fonctionnement – commencent à s’infiltrer dans le coeur, les poumons, les bronches et les autres voies respiratoires.

L’exposition constante à ces substances irritantes diminue la résistance du système respiratoire. Une congestion lymphatique dans la région abdominale, particulièrement dans la citerne de Péquet et le canal thoracique, empêche le drainage lymphatique de ces organes. La plupart des troubles respiratoires arrivent à cause de telles obstructions lymphatiques.

Quand les mesures protectrices du corps n’empêchent pas les microbes inhalés ou apportés par le sang d’atteindre et de coloniser les poumons, il peut en résulter une pneumonie. Les microbes  sont apportés par le sang et par l’air, la fumée de cigarette, l’alcool, les rayons-x, les corticoïdes, les allergènes, les antigènes, les polluants, les substances toxiques. Des complications respiratoires se présentent quand un nombre croissant de calculs biliaires s’accumulant dans les voies biliaires de foie mènent à un agrandissement de foie, gênant le mouvement du diaphragme et empêchant les poumons de s’étendre jusqu’à leur capacité normale pendant l’inhalation, limitant l’échange gazeux, causant une congestion lymphatique et une rétention de dioxyde de carbone. Un apport insuffisant d’oxygène amène une détérioration des fonctions cellulaires dans tout le corps.

Troubles du système urinaire

Le système urinaire est constitué 2 reins, qui forment et excrètent l’urine. Un bon fonctionnement du système urinaire est essentiel afin de maintenir l’équilibre entre l’eau et les substances qui y sont dissoutes, ainsi que l’équilibre acidobasique. Ce système est actif dans l’élimination des déchets résultant de la dégradation (le catabolisme) des protéines cellulaires dans le foie.

100 à 150 litres de filtrat sont formés chaque jour par les deux reins et 1 à 1,5 litres sont excrétés sous forme d’urine. A l’exception des globules, les protéines des plaquettes de sang et toutes les autres composantes sanguines doivent passer par les reins.

Les calculs biliaires dans le foie et dans la vésicule biliaire réduisent la quantité de bile nécessaire pour digérer convenablement la nourriture. Une bonne partie de la nourriture non digérée commence à fermenter et putréfier, faisant ainsi passer des déchets toxiques dans le sang et dans la lymphe.

Quand les toxines acides sont déchargées dans le tissu conjonctif plus rapidement qu’elles ne sont neutralisées par le bicarbonate de soude secrété par le corps dans le sang et éliminées par les organes excréteurs. L’épaississement du tissu conjonctif par les déchets empêche l’absorption des éléments nutritifs, l’eau et l’oxygène par les cellules des organes, souffrant de sous-alimentation, de déshydratation et du manque d’oxygène.

Les protéines d’origine animale, en tant que substances des plus acides, sont mal traités par le foie, quand il est obstrué par les calculs biliaires. Les protéines excessives sont « temporairement » emmagasinées dans le tissu conjonctif, puis sont transformées en fibre de collagène. Les fibres de collagène sont stockées dans les membranes basales peuvent devenir jusqu’à 10 fois plus épaisses que normales. Une situation similaire se passe dans les artères. Vu que les parois des vaisseaux sanguins deviennent de plus en plus encombrées, moins de protéines peuvent quitter le sang. Vu que les parois des vaisseaux sanguins deviennent de plus en plus encombrées, moins de protéines peuvent quitter le sang. Ceci mène à un épaississement du sang, ce qui le rend de plus en plus difficile à filtrer par les reins. En même temps, les membranes basales des vaisseaux sanguins qui nourrissent les reins, deviennent aussi encombrées, ce qui les rend dures et rigides. Au plus, la tension à l’intérieur augmente, au plus les reins souffrent et commencent à dégénérer. De plus en plus de déchets métaboliques, excrétés par les cellules rénales, et qui sont normalement éliminés via les vaisseaux sanguins veineux et les conduits lymphatiques, s’accumulent dans les reins et affaiblissent d’autant plus leur fonctionnement.

Les reins ne peuvent plus maintenir l’équilibre de liquides et d’électrolytes dans le corps. Les composantes urinaires peuvent précipiter, former des cristaux et des calculs de types, de tailles diverses. Des calculs urinaires acides dans l’urine dépasse 2-4 mg %. L’acide urique est un dérivé de la transformation des protéines dans le foie. Les calculs formés suite à des concentrations d’acide urique supérieures à 4 mg % peuvent mener à une obstruction urinaire, à une infection des reins et, finalement, à l’échec rénal.

Comme les cellules des reins sont de plus en plus privées d’éléments nutritifs vitaux, y compris d’oxygène, des tumeurs malignes peuvent s’y développer. Les cristaux d’acide urique qui ne sont pas éliminés par les reins peuvent se loger dans les articulations et causer du rhumatisme, la goutte et de la rétention d’eau.

Un sang toxique, rempli de petites molécules, de déchets et d’un excès de protéines provoque un mauvais fonctionnement des reins jusqu’aux maladies : l’hypertension, l’hypotension, une urine brun sombre, une soif excessive, une augmentation de la miction, une faible quantité d’urine par jour (500 ml), la pression dans la vessie, pigmentation de la peau et plus brune, chevilles gonflées…

Troubles du système nerveux

Dans le monde rapide d’aujourd’hui, nous sommes exposés à toute une série d’impulsions qui déferlent sur nos sens. Les cellules de notre cerveau sont capables de fabriquer la quantité incroyable de substances chimiques dont elles ont besoin pour accomplir les tâches complexes qu’elles doivent exécuter chaque jour. Leur vie dépend de l’approvisionnement continu en éléments nutritifs dont elles ont besoin de produire ces substances chimiques.

Les déficits nutritionnels sont pour conséquence un mauvais fonctionnement du système digestif et, en particulier, du foie. Le manque de telles substances nutritives peut enfreindre la capacité de notre cerveau à fabriquer les substances chimiques, dont il a besoin pour fonctionner efficacement.

Le cerveau peut fonctionner pendant un certain temps avec des éléments nutritifs en quantités réduites et de qualité inférieure, mais le prix à payer inclut une mauvaise santé, la fatigue, le manque d’énergie, la dépression, la maladie, les douleurs, et le malaise généralisé. Certains déficits se manifestent dans des maladies mentales, telle que la schizophrénie et la maladie d’alzheimer.

La santé du système nerveux dépend principalement de la qualité du sang, composé de plasma (eau, protéines de plasma, sels minéraux, hormones, vitamines, substances nutritives, déchets organiques, anticorps, gaz) et de cellules sanguines (globules rouges (érythrocites), plaquettes (thrombocytes)). Des changements anormaux dans le sang se répercutent sur le système nerveux et sur le reste du corps.

Des calculs biliaires dans le foie interfèrent avec la digestion, l’assimilation de la nourriture, ce qui surcharge le plasma sanguin de déchets et réduit l’approvisionnement en substances nutritives de la moelle osseuse. Une modification de la composition des cellules sanguines empêche les hormones de circuler normalement, cause des réactions anormales dans le système nerveux, provoquant des maladies.

Le cerveau constitue 1/5 du poids du corps, contient 1/5 du volume sanguin total et consume de grandes quantités de glucose. Les calculs biliaires dans le foie réduisent radicalement l’approvisionnement en glucose du cerveau et du reste du système nerveux, ce qui peut entraver le fonctionnement des organes, des sens et de l’esprit.

Pendant les 1ères étapes d’un déséquilibre nerveux, une personne peut développer des envies de nourriture, particulièrement de sucreries ou de farineux, et avoir de fréquentes sautes d’humeur ou des tensions émotives.

La diminution des protéines du plasma ainsi que des facteurs de coagulation du sang à partir d’acides aminés, formés par le foie, peut causer des saignements capillaires spontanés, des hémorragie. Si une hémorragie a lieu dans le cerveau, elle peut causer la destruction de tissu du cerveau, la paralysie ou la mort. L’intensité des saignements est déterminée par des variables telles que l’hypertension et la consommation d’alcool.

Les calculs biliaires dans le foie et la vésicule biliaire réduisent les sels biliaires indispensables à la aux intestins, qui mal-absorbent les lipides et réduit la vitamine K, élément essentiel pour la synthèse des facteurs de coagulation, emmagasinée par le foie.

Des désordres vasculaires dus aux calculs biliaires dans le foie modifient l’épaisseur du sang, durcissent les vaisseaux sanguins et peuvent mener au détachement d’un caillot de sang (embole), causant une ischémie ou un infarctus ou une crise d’apoplexie (cerveau).

L’interruption des fonctions du foie a un effet particulièrement néfaste sur les atrocytes (cellule du tissu primaire du système nerveux central), menant à l’apathie, troubles de l’orientation, délire, rigidité musculaire, coma. Les déchets bactériens azotés absorbés par le côlon et non désintoxiqués par le foie, peuvent atteindre les cellules du cerveau via le sang. Les autres déchets métaboliques, tels que l’amoniaque, peuvent atteindre des concentrations toxiques, modifier la perméabilité des vaisseaux sanguins dans le cerveau et réduire l’efficacité de la barrière hémato-encéphalique.

Des neurones insuffisamment nourris atrophient le tissu neuronal, ce qui mène à la démence ou la maladie d’alzheimer, tandis que la sous-alimentation des neurones, responsables de la production du neurotransmetteur dopamine, mène à la maladie de Parkinson. La sclérose en plaques (SEP) résulte d’une sous-alimentation des cellules qui produisent la myéline (gaine de graisse entourant les axones des cellules nerveuses), est le signe d’une congestion du gros intestin, empêchant une absorption correcte des substances nutritives.

La malabsorption des lipides par le foie, due aux calculs biliaires impacte le développement et le fonctionnement du cerveau, composé à plus de 10% de cholestérol (matière sèche), protégeant les nerfs contre les dommages ou les blessures.

Troubles du système osseux

L’os humain est composé de 20% d’eau, 30-40% de tissu organique, telles que les cellules vivantes (ostéoblastes formant l’os, ostéoclastes, chargés de la résorption de tissu osseux), 40-50% de matériel inorganique, tel que le calcium, dont le tissu contient beaucoup de vaisseaux sanguins et lymphatiques et des nerfs. L’os spongieux, partie moins dense de l’os, contient la moelle osseuse, à l’origine des globules rouges et blancs.

Des calculs biliaires dans le foie mènent à une congestion lymphatique dans les intestins et dans les autres parties du corps, déséquilibrant l’approvisionnement en substances nutritives nécessaire à production de nouveau tissu osseux. L’ostéoporose résulte d’une réduction de la quantité de tissu osseux. L’os spongieux est touché avant l’os cortical, couche extérieure de l’os.

L’insuffisance de bile, due aux calculs biliaires dans le foie, réduit l’absorption du calcium dans les intestins, augmente le niveau d’acides nuisibles dans le sang, neutralisé par le calcium retiré des os et des dents. Pour neutraliser la haute concentration de phosphore contenu dans le lait de vache, le corps utilise non seulement le calcium du lait mais aussi le calcium des os et des dents. C’est ainsi que se réduisent les réserves de calcium, la densité des os ou la masse osseuse : fractures des os et des hanches.

La vitamine D liposoluble, le calciférol, est essentielle pour un métabolisme équilibré de calcium et de phosphore, pour une structure osseuse saine. L’infection des os ou l’ostéomyélite peut résulter d’un blocage lymphatique prolongé dans le corps, dû à des calculs biliaires, d’abcès dentaire ou furoncle, dans ou autour du tissu osseux. Les microbes présents dans le sang ont libre accès aux os acidifiés et faibles. Des tumeurs malignes des os peuvent se développer quand la congestion lymphatique dans le corps, surtout les os, atteint des proportions extrêmes, signes d’un déficit nutritionnel du tissu osseux.

Troubles des articulations

On distingue 3 types d’articulations : articulation immobiles ou fixes (synarthroses), cartilagineuses ou semi-mobiles (amphiarthroses), synoviales ou très mobiles (diarthroses).

Des intestins constamment exposés à des virus, des bactéries et des parasites et des troubles métaboliques provoquent : gonflements, flatulences, brûlures d’estomac, renvois, constipation, diarrhée, froideur et gonflements des mains et des pieds, transpiration excessive, fatigue généralisée, perte d’appétit, perte de poids…

En plus des nombreux antigènes (corps étrangers) contenus dans la nourriture, le système digestif doit aussi les insecticides, les pesticides, les hormones, les résidus antibiotiques, les additifs et les colorants contenus dans tant d’aliments de nos jours. D’autres antigènes possibles incluent le pollen de fleurs, les plantes, les anticorps végétaux, les champignons, les bactéries et les médicaments à grandes molécules tel que la pénicilline.

C’est la tâche du système immunitaire, dont la plus grande partie est localisée dans les parois intestinales, de nous protéger contre tous ces envahisseurs et ces substances potentiellement nuisibles. Des calculs biliaires dans le foie entravent sérieusement le processus digestif, surchargent le sang et la lymphe des substances toxiques sus-mentionnées.

Les cellules immunitaires circulent dans le sang, se logent les ganglions lymphatiques, dans la rate, dans la membrane des glandes salivaires, dans le système lymphatique des bronches, dans le vagin ou dans l’utérus, dans les glandes mammaires et dans les capsules articulaires.

Dans le cas d’exposition répétée aux antigènes toxiques, la production d’anticorps augmentera de façon spectaculaire, particulièrement dans les secteurs où les cellules immunitaires se sont logées. Les maladies auto-immunitaires, qui indiquent un niveau excessif élevé de toxicité dans le corps, résultent directement d’un tel déséquilibre. Les toxines nocives du sang, non neutralisées par un foie bloqué par les calculs biliaires, finissent par être déchargées dans le tissu conjonctif. Au plus, les toxines s’accumulent dans le tissu conjonctif , au plus les membranes cytoplasmiques sont obstruées par des substances nuisibles. Le corps ne peut se nourrir et se nettoyer lui-même, ce qui en fait une cause principale de toxicité.

L’ostéoarthrite se développe quand le renouvellement du cartilage articulaire ne va pas à la même mesure que sa dégradation. Le cartilage articulaire devient de plus en plus mince jusqu’à ce que les surfaces osseuses des articulations frottent les unes contre les autres et commencent à dégénérer. Des réparations osseuses anormales (déformations) et des inflammations chroniques peuvent en résulter. Des troubles digestifs chroniques, altérés par des calculs biliaires dans le foie, sont la conséquence du manque d’éléments nutritifs utilisés dans la composition du tissu osseux.

Quand la présence de calculs biliaires dans le foie se répercute sur la circulation du sang dans les reins et que l’excrétion d’acide urique est insuffisante, se développe la goutte, causée par des cristaux d’urate de sodium dans les articulations, les tendons.

Fumer des cigarettes, boire régulièrement des boissons alcoolisées, prendre des stimulants… provoquent une destruction cellulaire intense, ce qui relâche des grandes quantités de protéines provenant de cellules dégénérées dans le sang. La production d’acique urique augmente lors de la consommation excessive de protéines alimentaires, telles que la viande, le poisson,le porc, les oeufs…

Troubles des organes reproducteurs

Les calculs biliaires dans le foie réduisent le flux de bile dans les voies biliaires, altère la digestion et déforme la structure des lobules hépatiques, producteurs de sérumalbumine, protéine abondante responsable de la pression osmotique du plasma à son niveau normal de 25mmHg et des taux constants de facteurs de coagulation.

Une pression osmotique insuffisante réduit l’approvisionnement en substances nutritives les cellules, les organes reproducteurs, affaiblit le drainage lymphatique, causant les oedèmes, la rétention d’eau, de déchets métaboliques, de cellules mortes. Cela mène à des troubles graduels des fonctions sexuelles.

La plupart des maladies du système reproducteur résultent d’un mauvais drainage lymphatique, causé par un grand canal thoracique bouché en présence de calculs biliaires dans le foie altérant la digestion et l’absorption correcte de la nourriture.

Un mauvais drainage lymphatique dans le région du bassin chez la femme mène à une immunité réduite, à des problèmes de menstruation, au syndrome pré-menstruel, à des troubles ménopausiques, à la maladie pelvienne inflammatoire (PID), à la cervicité, à toutes sortes de maladies utérines, à une dystrophie vulvaire, à des kystes ovariens et des tumeurs, à la destruction cellulaire, à un manque d’hormones, à une réduction de libido, à la stérilité et à des mutations génétiques cellulaires menant au cancer.

Une obstruction du canal thoracique peut mener à une accumulation de substances nocives, causant des inflammations, des nodules, un blocage de la lactation, des tumeurs cancéreuses au sein droit ou gauche.

Une restriction continue du drainage lymphatique dans la région pelvienne chez l’homme peut causer un agrandissement bénin et malin de la prostate, une inflammation des testicules, du pénis et de l’urètre. Les maladies vénériennes se développent quand il y a un taux de toxicité élevé dans les parties exposées du corps. Une infection microbienne est toujours précédée d’une grave congestion lymphatique. La capacité de plus en plus réduite du système lymphatique (incluant le système immunitaire) à repousser les microorganismes envahisseurs cause des troubles reproducteurs et sexuels.

Troubles cutanés

Des problèmes intestinaux, produisant un sang impur, conduisent à toutes sortes de maladies de la peau, telles que l’eczéma, l’acné et le psoriasis. Ceci est principalement causé par des calculs biliaires et les effets nuisibles qu’ils ont sur le corps dans son ensemble. Dans sa tentative d’éliminer ce que le côlon, les reins, les poumons, le foie et le système lymphatique sont incapables d’excréter ou de désintoxiquer, la peau devient surchargée de déchets acides. Bien que la peau soit le plus grand organe d’élimination du corps, elle succombe finalement à l’attaque acide. Le matériel toxique est d’abord stocké dans le tissu conjonctif, en-dessous du derme. Quand cette « décharge » est saturée, la peau commence à mal fonctionner.

Les toxines et les protéines putréfiantes des cellules cutanées endommagées ou détruites attirent des microbes et deviennent une source constante d’irritation et d’inflammation de la peau. Si les glandes sébacées, qui déversent leur sécrétion, le sébum, dans les follicules des cheveux, souffrent de malnutrition, le développement des cheveux devient anormal et, en particulier, peut mener à une calvitie. Quand les stocks de mélanine se vident, les cheveux deviennent prématurément gris. Sur la peau, le sébum joue un rôle d’agent bactéricide et fongicide, empêchant une invasion microbienne, le dessèchement de la peau et l’apparition de fissures…

 

extrait « Etonnant nettoyage du foie, de la vésicule biliaire » Andréas Moritz